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#52 – Carnet de coach – la chasse est ouverte !

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Hello coqueliquette aux cookies,

Mon mari se fait chasser. (Par un recruteur, je te rassure. Pas par un prince sadique du fond de l’Oural, qui aurait des envies de viande fraîche. Quoique fraîche… on pourrait en discuter, mais ce n’est pas le sujet).

Rien d’extraordinaire en soi. Sauf que là, j’observe ses réactions avec un œil de coach ! Hé hé…

La première réaction, quand on t’appelle et que t’es tout seul dans un bureau fin Août (et quand tu n’es pas Kylian Mbappé et que tout le monde te veut dans son équipe), t’es flatté.

Ouais. Ton égo se redresse façon paon qui fait la roue. Finalement, c’est vrai que j’suis bon dans ce que je fais. Ça fait du bien.

Si, en plus, tu es un peu en manque de reconnaissance là où tu bosses (si, si ça existe ?). C’est tout bonus.

Forcément dans ce premier contact, le salaire est au dessus de ce que tu gagnes en ce moment. La nana du cabinet de recrutement est hyper positive. Elle fait son job, mais toi tu as l’impression que c’est toi l’élu (genre elle n’a appelé que toi).

Résultat, tu vas vite (mal) refaire ton CV pour envoyer à la dame.

Ta motivation : EGO + FRIC

Dis comme ça, tu vois tout de suite que ça cloche. Que c’est pas une base hyper solide. Sauf qu’à ce moment là, dans ta tête, ce n’est pas dit comme ça. C’est un gloubiboulga d’envie, de frustration et de fantasme. Difficile de voir clair.

A la question : “Mais t’as ENVIE de changer?”
“Bah…chais pas…, j’ai le profil en tout cas”

Oui t’as le profil, sinon elle ne t’aurait pas appelé. Mais à part ça ?
“bah…chais pas…pas trop eu le temps de réfléchir.

Ça m’a fait penser à mes différents postes salariés.
Tu y vas parce qu’on veut bien de toi. Du moins, c’est comme ça que tu vois les choses à ce moment là.
Les postes s’enchaînent, suite de hasard ou de non choix. Ton salaire grimpe (c’est déjà ça).

Et tu reproduis toujours les mêmes schémas de relations dysfonctionnelles et de sur-adaptation. Tu finis même par te dire que le problème c’est peut être toi (#jsuisnulle).

Tu n’as jamais pris le temps de construire un projet pro à partir de toi. De ce qui compte pour toi (valeurs), de comment tu fonctionnes, de tes besoins.
Tu vois l’aspect financier et tu as la trouille de perdre ce que tu as. Avec le temps, tu ne sais même plus trop de quoi tu as envie ou alors c’est floutissime.

Alors tu restes.

Mais ça frotte de plus en plus.
Alors si, en cette rentrée bizarre post-covid (d’ailleurs “post”, c’est pas dit), tu as envie de prendre un peu de temps pour toi et de recul sur ton boulot. Je te propose un test (si tu l’as déjà fait n’hésite pas à me dire ce que tu en as pensé en réponse à ce mail).
L’idée est de voir où tu en es côté taf et de te partager des pistes pour te mettre action.
Par quel bout attraper le problème (si problème, il y a ?).
Où mettre ton énergie pour faire bouger les choses vers plus de kif.

Prends soin de toi et aime toi.

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Françoise Bourgouin - coaching de carrière

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#51 – Carnet de coach – Rien c’est bien ?

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Hello catapultante cattleya,

Lundi, j’ai déposé les enfants à la gare. Je les ai installés dans le train, qui, par bonheur, était à quai. L’avantage d’avoir une ligne de train préhistorique et d’en être le terminus. Ils faisaient moins les cakes que dans la voiture, avec leurs petites valises et leurs masques. Assis, bien sages, dans le TER qui allait les emmener à Paris.

La bonne mère en moi (et oui, il lui arrive de faire surface. Je suis la première surprise !) avait un peu le bide contracté de laisser partir ses 2 grands machins. J’ai même eu droit à un coucou de la main quand je suis descendue du wagon.

Alors que pour le même geste devant le collège (enfin ça remonte à l’époque où il y avait un collège et des ados devant, j’ai l’impression que c’était il y a 10 ans), je me suis faite pourrir que c’était trop la honte d’avoir une mère qui faisait un signe de la main.

La mauvais mère en moi (toujours aux aguets) avait alors rétorqué qu’il y a un service de bus très efficace pour aller au collège et que ces chers enfants sont également équipés de grandes jambes qui fonctionnent à merveille. Alors la contrepartie du trajet en voiture, avec de la bonne musique et une livraison porte à porte, c’est le coucou de la main. “Et estime toi heureux que je ne klaxonne pas ! “ Nan mais….

Donc mes mangeurs de pasta box sont partis pour 5 jours. Mon mari est à l’usine (j’adore écrire ça. Ça sonne comme une vieille chanson de Jean Ferrat). Les chats se font discrets, tant qu’il y a une porte ouverte et des croquettes dans une gamelle.

JE SUIS SEULE. ??

J’attendais avec tellement d’impatience ce moment.

J’allais en profiter pour bosser. Mais alors, un truc de dingue. Ma liste de choses à faire pour cette semaine était pantagruélique. Elle débordait d’articles à écrire, de bouquins à lire, de ligne éditoriale de rentrée à préparer, d’activités créatives, de sport, de marche au bord de l’eau…

Bien sûr, tu me vois venir. Nous sommes jeudi, et voilà : Rien fait.?

Enfin rien fait, c’est une façon de voir les choses.

Rien fait de ma liste, ou presque.

Et c’est OK.

Habituellement je me serai sentie nulle, pas à la hauteur? Kuuuaaah des objectifs non atteints !? Enfer et damnation ! Ton année est foutue. Que dis-je ton année ? Ta vie entière et celle de tes enfants sur 10 générations (mon dialogue intérieur est toujours un peu surjoué).

Mais non. Rien de tout ça. Les flammes de la culpabilité ne se sont pas déchaînées sur moi (fait assez chaud d’un autre côté).

Pourquoi ? Je pourrai te dire que j’ai vachement travaillé sur moi. Que je suis arrivée à une totale zénitude éternelle. Mais absolument pas.

Juste j’en avais tellement besoin.
Besoin de rien, de non planning, de ne pas remplir. Besoin de me laisser porter par l’envie du moment. Besoin de regarder mon figuier grandir (et Netflix?). De ressentir le temps qui passe. De presque s’ennuyer. De ne pas être efficace.

Et ça fait un bien de fou.

Alors cette semaine rien d’autre que profite, écoute, traîne, ressens, bouge, aime….

Arrête toi. Ne serait-ce qu’une minute, une heure, une après midi.

JUSTE POUR TOI.

Prends soin de toi et aime toi.

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B

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#50 – Carnet de coach – Tu vas tout déchirer …✂

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Hello affolante ombellifère,

Il est 7h26. Je commence à rédiger cette newsletter assise sur ma terrasse. 

La rue du mois d’Août est silencieuse. Les coqs et les paons du parc d’à côté s’en donnent à coeur joie. J’ai l’impression qu’ils font un concours à qui s’égosillera le plus fort. Genre karaoké après pas mal de mojitos.

 La chatte lape les restes de la pluie de cette nuit sur la table de jardin. L’herbe est grillée façon paille après la moisson. 
J’aimais le silence du bureau le matin. Mais le bruit de ma terrasse c’est mieux !

Je profite de la fraîcheur (relative) matinale. J’essaie de capter ce sentiment de presque frisson. Si seulement je pouvais le stocker et le revivre cette aprèm ! En attendant je te partage ce frisson, cette fraîcheur qui hérisse la peau.
 
Il fait chaud. Je ne sais pas toi. Mais mon cerveau, mon corps, tout est ralenti. Mou. Comme dissout par cette chaleur.

Alors profitons-en ! 
Pour prendre du temps pour toi. 
Pour faire pause.
Pour faire court.
Pour faire moins.
Pour faire autrement.
Pour ne rien faire.

Hier soir, j’ai fait un atelier créatif avec les super nanas du club du Café des Rêves. Nous avons fait de l’art journaling. Un truc que je connaissais mal, voire pas.

La révélation du soir : découper sans ciseaux.
Déchirer quoi ?.

J’avais envie de faire des collages. (oui, depuis que je bosse à la maison, je reprends les bases ??). J’ai commencé par prendre mes ciseaux et à bien découper mes images.

Comme une bonne cocotte que je suis, qui suit bien les bords sans dépasser ✂✂. Comme la maîtresse me l’a dit. Quand les filles ont parlé de déchirer plutôt que de découper. J’ai testé. C’était hyper libérateur.
En fin, une fois que mon cerveau a eu fini de me dire que c’est “mal” les bords pas droits ?? (maman sort de ma tête !).
Du coup, j’ai déchiré mon Flow dans tous les sens.

Encore une fois, la preuve en image que nous avons un paquet de programmes, d’acquis qui nous font fonctionner en automatique.
Alors heureusement, car s’il fallait s’interroger pour tout, tout le temps, ce serait ingérable.

Mais c’est sympa de temps en temps (tout le temps ? ?) de prendre un autre chemin. Voilà une façon bien agréable de “sortir de sa zone de confort” (tu sais le Graal du développement perso).

Cette hot&slow période est une belle occasion de tester autre chose. De remettre en question quelques fonctionnements.

Si tu as du mal à trouver les autres chemins ou à voir les programmes qui buggent. Viens m’en parler en séance découverte. Tu peux la réserver juste en dessous.

Prends soin de toi et aime toi.

B

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#49 – Carnet de coach – Allez ouste…?

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Hello lumineuse luciole sérotinale,

Les vacances sont finies pour moi. Et tu sais quoi ?
Je n’ai jamais été aussi heureuse de rentrer.

Pourtant les vacances ont été sympas. Avec du soleil, de la Bretagne et des goélands. Mais là, je n’ai même pas l’impression de reprendre. Du moins dans le sens “d’avant”. Pas de boule au ventre, pas de déprime du dimanche soir (même plus de prétexte pour une piña colada ?!), pas de “c’est passé trop vite”.

Non ! Rien de tout ça. Juste des tas de projets, d’envies et une to do list bien remplie, qui me réjouit. Pourtant il y a dessus des trucs carrément chiants.

J’ai toujours aimé travailler au mois d’Août.
Même quand j’étais salariée… (bon ok c’était il y a 3 semaines !! c’est pas si vieux ?. Mais tu n’imagines pas à quel point c’est déjà loin pour moi).
Le mois d’Août, si tu bosses, est un mois différent. Tu remplaces tes collègues partis en Espagne ou au Cap d’Agde. Tu fais des trucs dont tu n’as pas l’habitude. Tu as le bureau pour toi seule ou presque (fait péter l’enceinte bluetooth ?). Tu parles à d’autres personnes, vu que tes cop’s sont parties. Ta boulangerie est fermée alors tu vas ailleurs (dingue !)
Avec un peu de chance, tes enfants sont chez Mamie ou en colo et là, c’est royal. Open bar ! Pas de bouffe à faire !

Août est un slow month.

Je me rappelle, il y a fort fort longtemps (au siècle dernier), avoir traversé tout Paris un matin d’août pour déménager ma soeur. Je conduisais le camion de mon usine de l’époque, qui arborait fièrement sur tous les côtés ‘“Andouillettes de Troyes”. J’avais limite l’impression d’être dans la caravane du Tour de France. Et c’est passé crème. Aucun souci pour se garer (The andouillette effect surement !)

Bref, Août c’est LE moment.
Le moment pour traverser Paris, mais pas que…
Le moment où tu as un peu de temps pour toi.
Le moment où tu débranches le pilote automatique.
Un moment propice à la réflexion sur ta vie, ton oeuvre.
Le moment de se poser pour faire le tri (pas que dans tes armoires). Le tri de ce qui te vas côté boulot et de ce qui ne te vas vraiment plus. Parce que tu as grandi ?.

Si tu es ok, voici un exercice : je te propose 5 thèmes (tu peux en rajouter) sur lesquels qu tu évalues ton niveau de satisfaction. Comment tu te sens avec ton résultat ? Ensuite, quelles actions simples pour le faire augmenter ?

Environnement et organisation
Missions : contenu, intérêt
Mise en oeuvre de tes talents et compétences
Relations et com’
Alignement avec valeurs et sens
Viens me dire ce que ça donne en réponse à ce mail. Tu peux aussi réserver une séance avec moi (la 1ère est gratuite) pour peaufiner tes actions et préparer ta rentrée.

Si tu es en partance ou déjà en mode farniente.

Profite, déconnecte, recharge.

Fait des tas de choses différentes de d’habitude. Rallume ta curiosité. Crée des nouveaux chemins neuronaux dans ton cerveau (oui, carrément).
Lâche ton cerveau, nourrit ton cœur et chouchoute ton corps.

☀☀ Happy mois d’août à toi ☀☀
Prends soin de toi et aime toi

Ces vacances seront peut être l’occasion pour toi de renouer avec des envies d’ailleurs professionnel. Avant de les flinguer avec un “oui mais…” va lire le nouvel article sur mon blog.

Prends soin de toi et aime toi.

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#48 – Carnet de coach – C’est la dernière…

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Hello caracolante cadole ensoleillée,

Je suis fière de t’envoyer ma 48ème newsletter (Dieu que ce mot est mochedouille. Si on disait lettre plutôt ? Je n’ai rien contre l’utilisation de mot anglais. Souvent, c’est plus efficace. Mais là, bof…)

Je m’étais dit que je ferai un bilan à 1 an (donc à la 52ème?). Mais je suis trop pressée, alors je le fais maintenant. Et oui, le cadre est moi c’est compliqué. Je m’étais dit aussi que les bilans c’est chiant. Preuve qu’il n’y a que les quetsches qui ne changent pas d’avis.

Après ce printemps pour le moins bizarre, frustrant, stressant et sans fin. Je ne sais pas toi, mais j’ai besoin de poser les choses. Histoire de voir si j’ai encore pied.

Et puis je suis en vacances demain. Alors quoi de mieux que de faire le point avant de partir.⛱⛱ (cette phrase est cruche j’en suis bien consciente).

Surtout que j’ai pris une grande décision. Je ne ferai RIEN pendant ces 2 semaines ! Je ne t’écrirai pas pendant 2 jeudis. Autant te dire que c’est comme dire NON à ma mère. Un truc quasi impossible. Et pourtant, j’ai réussi à m’autoriser à m’arrêter.✨✨

Du coup avant cette coupure, j’ai eu envie de re-balayer cette presque’année de lettres hebdomadaires.

La première date du 21 août 2019. Je m’étais dit qu’à cette date je ne risquais rien, tout le monde serait encore en vacances !! Envoyée à 8 personnes, 4 l’ont ouverte. 2 copines, un abonné arrivé là par hasard, je pense, et moi.

Aujourd’hui, cette 48ème atteindra 252 boites mail, et j’espère, pas trop de spam. Beaucoup, ou pas beaucoup, peu importe. Il y a des gens qui me lisent, c’est tout ce qui compte pour moi. Chaque jeudi, je surveille les stats d’ouverture du cru de la semaine comme un candidat un soir d’élection. Quand c’est quelqu’un que je connais je pense à ce qu’elle/il peut en penser.

Il y a les semaines où ça vient tout seul, où les doigts ne vont pas assez vite pour taper. Il y a les idées géniales qui viennent sous la douche et ont filé le temps de se sécher.  Et puis, il y a les semaines où ça ne vient pas. Où j’écris aux copines (et aux copains) que non, cette semaine impossible, rien à dire, c’est trop dur. De toute façon c’est nul. Et puis qui ça intéresse ? Bref les semaines où j’ai besoin de réconfort avant d’écrire. Merci à vous d’être là dans ces moments là ??.

Et puis, il y a les semaines où vous me répondez. Un petit message, une ligne, un mot, un emoji… Et là.. c’est juste whouah ! Du plaisir en intra veineuse. Moi qui ai souvent déliré sur les saladiers de coke qui manquaient trop dans nos comités de direction à la Sécu. Et bien mes saladiers de coke à moi ce sont vos messages ! 

Quand j’ai commencé je me suis demandé si j’aurai des choses à dire toutes les semaines. Puis, si ces fameuses choses allaient intéresser quelqu’un. Puis si ma façon d’écrire était lisible. Puis si mon orthographe aléatoire serait un problème. Puis si je pouvais écrire des gros mots. Puis, puis ….

Et puis, tu sais quoi ? Bah… on s’en fout de tout ça finalement. Les seules choses qui comptent, ce sont l’envie et l’authenticité. 

L’envie de partager des idées, des émotions, des petits bouts de prises de conscience. Sans filtre. Sans se demander si c’est “bien” (je ne sais pas le faire de toute façon !) Sans ajouter de fioriture ou de jargon parce que “ça se fait”. C’est un vrai entrainement. Pas toujours évident d’enlever les couches de vernis qui ne sont pas à nous.

Si tu as envie d’une vie pro plus authentique, avec plus d’envie que de “il faut”. Viens échanger avec moi lors d’une séance découverte. C’est gratuit, ça ne t’engage à rien d’autre qu’à prendre du temps pour toi.

 

Ces vacances seront peut être l’occasion pour toi de renouer avec des envies d’ailleurs professionnel. Avant de les flinguer avec un “oui mais…” va lire le nouvel article sur mon blog.

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#47 – Carnet de coach – Si Nietzsche le dit …

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Hello tonitruante louloute de poméranie,

Cette lettre est un brin perchée. Mais il y a des jours comme ça.?

La semaine dernière j’ai lu dans la newsletter de ma copine Jilda une citation de Nietzsche qui m’a interpellée (dis comme ça, ça fait un peu intello qui se la pète. Mais non en fait)

“Je vous le dis : il faut encore porter en soi un chaos, pour pouvoir mettre au monde une étoile dansante. Je vous le dis : vous portez encore un chaos en vous.” (Ainsi parlait Zarathoustra).

Le chaos, c’est assez tendance en ce moment. #coronatruc.

Ça fout les jetons même.

Moi, ça me fait penser à des films de fin du monde, avec des villes englouties dans des failles gigantesques. Des autoroutes croquées par des monstres robots aliens toureiffelesques.

Dans la mythologie, Chaos désigne une profondeur béante, qui fût à l’origine de la terre (Gaïa).

Alors, le réflexe, assez naturel, c’est de rester bien tranquillou dans son canapé. Plutôt que d’aller vers un chaos trouillogène.

Ce que je retiens de Nietzsche (ce mec a vraiment trop de consonnes) et des grecs (t’es toujours là ?), c’est que ce truc, qui fait peur, engendre des étoiles et la terre. Rien que ça !

Du coup, ça vaut un peu le coup d’y aller, non ?

Autrement dit, si je traduit en développement personnel : le monsieur te dit qu’“il faut sortir de ta zone de confort”.

Je n’en peux plus de cette phrase ! Je ne sais pas toi. Tous les schémas avec des ronds dans des ronds, des flèches qui sortent, T’as toujours une nana qui te sort ça d’un air inspiré. Quand t’as dit ça, t’as tout dit. Ou pas…

Ça me renvoit une image très négative. Genre t’es qu’une poule mouillée si tu ne sors pas (de ta zone de confort).
Je me vois aller nager jusqu’à la bouée et la dépasser, histoire de voir si le surveillant de baignade va siffler ! Whouah, quelle sortie ! ??

Et puis, “zone de confort” c’est moche. ça sonne mal à l’oreille (trop de”o” peut être). Un p’tit côté chaussures orthopédiques ?, je trouve. Mais je m’égare.

Alors qu’apprendre à surfer sur le chaos pour mettre au monde une étoile (TON étoile).
C’est quand même beaucoup plus inspirant et excitant. ?

Un autre niveau d’ambition quand même !

Surtout, ça annonce la couleur. Il va falloir apprendre à vivre avec l’incertitude (là, le mental commence à se crisper). Plutôt que la fuir.

Se réconcilier avec son chaos intérieur : c’est un chouette programme.

Est-ce que ça te parle ?

Ce n’est surtout pas pour le ranger ! ouh la non !
Je te vois venir avec ton swiffer et ton tableau excel.

Il s’agit juste de vivre au mieux avec lui. D’en faire un allier, une ressource, un super pouvoir.

Si tu veux partager ton chaos, viens m’en parler lors d’une séance découverte (c’est gratuit). Promis je ne te parlerai pas de zone de confort !

Prends soin de toi et aime toi.

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