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#46 – Carnet de coach – Le 1er jour du reste de ta vie

Newsletter du

Hello estivale festive,

It’s a new day, it’s a new down, it’s a new life, and I’m feeling good….tadam…tadam…

Je viens de quitter pour la dernière fois mon bureau. Il est vide de toutes mes touches perso (je fais partie des gens qui ne peuvent pas vivre dans un endroit sans mettre un poster, une fleur et une bougie qui sent bon). J’ai même enlevé mon nom sur la porte !

Pot de départ, discours touchant, témoignages sympas, je suis au bord de penser que je suis une nana formidable (oui mes chevilles vont bien).
J’espère que je n’ai pas créé un cluster, vu comment on a respecté les gestes barrières !!

C’est intéressant d’observer les réactions que suscite un départ.
Une démission, c’est affirmer son choix, sa liberté de choisir (promis la semaine prochaine je parle d’autre chose. Mais là, c’est trop kiffant, faut que je partage?)

Il y a ceux qui s’en foutent et te souhaitent un “bonne continuation” la bouche pleine de petits fours, et retournent vite à leur conversation d’origine.

Il y a ceux qui te disent que tu as beaucoup de chance, de courage, genre t’es pistonnée par marraine la bonne fée.

Il y a ceux qui te disent qu’ils aimeraient gagner au loto (j’vois pas trop le rapport, mais bon…?)

Et puis, hier j’ai une collègue qui m’a littéralement gueulé dessus. Pour me dire que elle, elle ne pouvait pas partir, elle n’avait pas le droit, c’était exclu, interdit, impossible. 
Déjà le ton était ultra agressif . Et les mots ultra négatifs et violents.

J’ai bien compris que cette colère n’était pas contre moi. Mais plutôt dirigée vers son enfermement à elle. Et là je me suis dit : c’est fou ce qu’un coaching pourrait lui apporter. Mais bon. ce n’était pas le sujet.

Quand tu es enfermée dans une situation. Que tu ne vois pas d’issue parce que tu as un paquet de contraintes, de freins, d’obligations qui s’imposent à toi.  La liberté des autres est insupportable. Tu as le sentiment d’être paralysée, piégée.
Le mouvement que te renvoie l’autre est juste inaccessible, semble-t-il pour toi. Ta colère trouve alors un exutoire. Une façon encore de justifier pourquoi toi tu ne peux pas. De le hurler, parce que ça fait moins mal quand on crie.

Voilà ce que j’ai envie de répondre à cette colère. Je te comprends (même si tu me gueules dessus ?)

j’ai été comme toi . Tellement enfermée, tellement mal que je voulais tout lâcher (vraiment tout) car il ne semblait pas y avoir de sortie.
Aujourd’hui, cette période est derrière moi. 
Le tout tout premier pas pour avancer vers autre chose a été de décider d’apprendre à  m’aimer. Je ne te dis pas que c’est facile (loin de là). Mais c’est juste nécessaire.

Alors si tu ne dois prendre qu’une seule décision aujourd’hui, cette semaine, ce mois-ci : à partir de maintenant je vais apprendre à m’aimer. Comme je suis, sans rien changer. Je vais changer mon regard sur moi.

Si tu trouves le job un peu hard toute seule, si la reconnexion n’est pas évidente, réserve ta séance découverte dans mon agenda. Première action pour toi.
Un miroir bienveillant et neutre peut t’aider à faire tes premiers pas vers toi.

Prends soin de toi et aime toi.

B

Françoise Bourgouin - coaching de carrière

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#45 – Carnet de coach – Partir un jour…

Hello lumineuse magicienne du solstice,

Je vis ma dernière semaine salariée.?

J’avais tellement fantasmé sur des départs “au revoir président” ou sur de magnifiques claquages de portes, enrichis en “Reviens, on a tellement besoin de toi”.

Comme d’habitude, la réalité est loin du fantasme.

Surtout quand ladite réalité se déroule dans un post confinement, où tout est bizarre. Où les relations pro sont un peu distanciées par le télétravail. Où les repères habituels sont très floutés.

En fait, bien partir c’est difficile.

Difficile de trouver la bonne distance.
Je ne suis plus vraiment là, mais pas encore partie. Restez pro jusqu’au bout, mais ne pas s’user sur des projets qui ne nous appartiennent plus. Laisser la main et transmettre à la bonne personne, sans bâcler.

Difficile de trouver la bonne posture.
Maintenir une élégance relationnelle jusqu’à la fin, résister au “fuck” qui affleure par moment. Il est tellement prompt à se faufiler celui-là.

Partir c’est un peu triste. Il y a toujours un deuil à faire.
Même si je suis très heureuse de m’en aller. Je n’ai aucun regret de ce choix, aucun regret de ce que je quitte. Le projet d’après est excitant, et challengeant. Tout ce que j’aime.

C’est moi qui ai décidé cette fin. C’est moi (toute seule comme une grande) qui ai organisé le quand et le comment.
C’est un peu comme quand arrivaient les grandes vacances. Tu étais super excitée à l’idée de ces 2 mois de liberté, mais triste de quitter les copines de classe.

Partir, c’est hyper jouissif. 

Quand c’est ton choix, quand il part de toi et de tes tripes.

Si tu as une envie de départ professionnel qui te chatouille depuis ton retour au bureau (ou depuis plus longtemps, mais là… elle cause de plus en plus fort). 

Si tu ne sais pas par quel bout l’attraper, par où commencer, comment te mette en ordre de marche.

Réserve ta séance découverte dans mon agenda, juste là en dessous… 

Pourquoi ?

1 – Pour en parler avec quelqu’un qui n’a aucun a priori, qui ne partage ni ta vie, ni ton boulot.
Parler de ses envies leur donne une réalité. Les verbaliser, les confronter permet de mesurer le niveau de désir qui les accompagne. Ce qui t’anime quand tu les partages.

2 – Pour commencer à localiser là où ça cloche et ça freine. Qu’est-ce qu’il te manque pour commencer à agir et te rapprocher de cette envie ?

3 -Parce que, avant de partir, on a la trouille. C’est plus chouette et plus rassurant d’être accompagnée sur ce chemin-là.

Alors, on part ensemble ?

Prends soin de toi et aime toi.

B

Françoise Bourgouin - coaching de carrière

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#44 – carnet de coach – Le bon moment, c’est quand ?

#44 – carnet de coach – Le bon moment, c’est quand ?

Newsletter du 18 Juin 2020

Hello héroïne de ta vie,

je t’écris en même temps que je participe à la dernière réunion “gestion de la relation client” de ma vie salariée. 
Vive les visios Zoom et le multi-écran.

Cette semaine une cliente m’a demandé si je pensais que c’était le bon moment pour son projet.

Déjà un.e coach ne pense pas. C’est un principe de base. 
Un.e coach, c’est un peu couillon (mais c’est fait exprès?). La coach n’a pas de solution, pas d’idée à ta place et pas de conseil.
Elle n’a pas de baguette magique (elle aimerait bien) et ne vas pas prendre de décisions pour toi (c’est vraiment mieux pour toi je t’assure).
Elle n’a que des questions, très chiantes parfois. Que tu te dis, que t’as pas envie de chercher la réponse ou d’aller voir par là.
Mais, à la fin, t’es contente du chemin parcouru.
Un peu comme quand tu n’as pas envie d’aller au sport. En sortant, tu te sens mieux. Même s’il y a des courbatures !

L’autre point de la question, c’était “le bon moment”. 

La crise, le post confinement, le marché de l’emploi,  les inquiétudes de ma mère, les doutes de ma collègue Colette, les études des enfants…. la liste est sans fin des choses qui vont te faire douter. 

Des motifs pour ne pas passer à l’action.

Des peurs en pagaille qui alimentent ton mental et font tourner tout ça en mode essoreuse à salade.

Il n’y a pas de bon moment. 

Quand cette question commence à flirter avec ton cerveau, dis-toi que c’est une fuite. Une façon de trouver une excuse extérieure pour ne pas bouger, ni décider. 

Soit ce n’est effectivement pas le bon moment, mais l’idée part de toi et tu sais argumenter et planifier quand tu vas agir.

Soit c’est ta trouille qui parle et c’est archi flou. Et là il est intéressant d’aller voir ce qu’elle veut te dire. Peut être que l’envie d’agir n’est pas suffisante, pas assez raccord avec ta vraie toi…Peut être que le morceau est trop gros et qu’il faut découper en plus petites bouchées.

Mais ce qui est sûr de sûr, c’est que le “bon” moment n’existe pas. C’est comme “être sûre”.

Ces mots sont vraiment des alertes sur “je suis en train de me bullshiter toute seule”. 

C’est fou ce à quoi on peut penser pendant un diaporama sur la relation client !

Prends soin de toi et aime toi.

B

Françoise Bourgouin - coaching de carrière

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#43 – carnet de coach – J’suis au taquet.

#43 – carnet de coach – J’suis au taquet.

Newsletter du 11 Juin 2020

Hello étonnante detonante magicienne du quotidien,

J’en ai déjà parlé ici, mais pour celles qui ont loupé l’épisode, je rappelle que je suis en pleine démission de mon adorable et indispensable administration française.

Et là… j’avoue, je suis au taquet de l’exaspération. Alors je partage. Tant pis pour toi.

A 18 jours d’arrêter, pourquoi prendre les choses si à cœur ?

Parce que je ne sais pas être autrement.
Parce que si j’étais blasée, ça voudrait dire que ce job m’a changée, usée.

Que dire d’un N+1 qui te zappe de la liste de diffusion des mails 1 mois avant ton départ (faudrait pas gâcher…) ?

Que dire d’une hiérarchie qui ne prend même pas le temps de te passer un coup de téléphone pour accuser la réception de ta dem?’
La même hiérarchie qui ne s’est pas déplacée pour le deuil d’une collaboratrice de 30 ans.

Que dire d’une politique QVT, où il faut 2 devis (minimum) de la boulangerie pour avoir droit à des croissants dans les moments de convivialité (T’as qu’à voir la tête de ma boulangère à 7h le mat’ quand tu lui demandes un devis pour 10 croissants). 
Du coup j’ai laissé tomber les croissants, on est passé au rouge et au saucisson, avec, des fois, du ratafia maison (genre qui peut rendre aveugle, tu vois). Quitte à faire des trucs interdits….autant se lâcher.

Que dire de cette expérience pro ?

Qu’il y a eu des très belles choses. 
Que j’ai participé à de supers projets, qui ont facilité la vie des gens.
Que j’y ai fait de belles rencontres.
Qu’elle m’a laissé le temps de trouver ce que je voulais faire quand je serai grande. 
Qu’elle m’a donné l’envie de la quitter (et qu’elle l’alimente en continu ?)

Alors  quand j’entends des collègues qui comptent les années jusqu’à leur retraite. Qui calculent et recalculent les trimestres. Qui disent: “moi j’m’en fous j’attends la retraite”.
 
Ca me rend dingue. 
Tu t’en fous de quoi ? 
De ton boulot ? ok si tu veux.
 
Mais surtout tu t’en fous de toi, de ta vie. 
C’est quoi ce truc de passer 5 ou 10 ans de sa vie à faire de la merde, à devenir aigrie, négative, fermée et à attendre.
 
Attendre quoi d’ailleurs ?
Ils ont l’impression d’être intouchables. Aucune prise sur eux. Rien ne les fera bouger. 
 
Mais ils gagnent quoi dans l’affaire ? L’ennui, la rigidité, la frustration.
Ils ont l’impression de lutter contre un système ? Il a bien moins à perdre qu’eux le système.
 
Alors oui, ça fait peur d’aller voir ailleurs.
Surtout quand on te répète qu’à 50 balais, t’es trop vieille, pas adaptable, limite périmée.
 
Mais tout vaut mieux qu’attendre.
Attendre et subir une organisation qui ne te convient plus. 

Alors voilà, ciao bye.
Mon poste ne sera même pas remplacé (touche finale).

Je fonce vers des cieux où l’éthique et la déontologie ne sont plus des freins mais des piliers sur lesquels s’appuyer pour avancer.
Je vais travailler avec des nanas qui ont envie de mieux, de prendre leur place.

Et tu sais quoi ?
Je kiffe.
Je chérie cette colère qui m’anime encore.

Un kif comme ça ! (Le bonheur d’avoir été enfant dans les 70’s )

B

Françoise Bourgouin - coaching de carrière

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#42 – carnet de coach – Mes enfants veulent me virer.

#42 – carnet de coach – Mes enfants veulent me virer.

Newsletter du 4 Juin 2020

Hello délicieuse liseuse en terrasse réouverte

Je t’ai déjà parlé d’Animal crossing, LE jeu de nintendo pour le confinement. 

Une histoire d’île déserte choupi avec des monstres gentils (oui c’est un paradis…), où il faut pêcher et chasser le papillon pour gagner de l’argent (des clochettes) et développer sa maison et les infrastructures de l’île.

Pendant le confinement j’ai eu envie de partager autre chose que les devoirs avec mes enfants et de sortir de ce rôle de prof hystérique. 

Alors, je me suis créée mon avatar et ils m’ont invitée à venir m’installer sur leur île.
Ils m’ont donné des tas de cadeaux pour faciliter mon démarrage.

Très vite j’ai voulu comprendre les objectifs, comment ça fonctionne. 

J’ai désherbé avec acharnement, coupé des arbres en masse. 
J’ai rangé, aménagé des routes, construit des ponts et détourné les cours d’eau.
J’ai fait de la pêche intensive pour gagner de l’argent, fait de l’hybridation de fleurs (#OGM) pour attirer des espèces rares (et donc chères!) de papillons.
J’ai spéculé sur le cours du navet pour gagner plus d’argent (oui, j’ai conscience que cette phrase est bizarre ?)

Bref, une orientation résultat à fond. Pourtant il n’y avait rien à gagner, ni aucune compétition.

J’étais super fière de moi de voir notre île gagner des étoiles chaque jour (une sorte de guide Michelin made in Nintendo).

Tellement fière, tellement obsédée par l’atteinte du prochain objectif, que je n’ai pas vu que les enfants jouaient de moins en moins.

« Tu nous as gâché le plaisir de jouer maman. »
Nous on aimait bien les mauvaises herbes. Finalement on ne sait pas si on va te garder avec nous ! 

Et toc, prends toi ça un vendredi soir !

Ce moment que nous devions partager, je l’ai phagocyté. Je m’étais transformée en manager obsédé par ses résultats.

But why ?

Comme si en cette période où tout était arrêté, il fallait absolument que je trouve des objectifs, des challenges à relever. 

C’est si difficile de lâcher prise finalement.

Les repères que je n’avais plus à l’extérieur, je les recréais dans ce jeu. 

Comment éviter de devenir une mère indigne qui monopolise la console et se fait virer d’une île virtuelle par ses enfants ??

En se demandant pourquoi ?

Pourquoi je fais ça ?
Est-ce vraiment ce que je veux ou juste un conditionnement, un programme bien implanté ?

Prends soin de toi et aime toi.

B

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#41 – carnet de coach – Y’en a qui ont de la chance.

#41 – carnet de coach – Y’en a qui ont de la chance.

Newsletter du 28 Mai 2020

Hello  foule sentimentale qui a soif d’idéal,

je viens d’entendre à la radio qu’Alain Souchon avait 76 ans !

Et le gars, il sort encore des albums, il écrit, il fait sa promo, de la scène. ? ?

Je ne pense pas (mais je peux me tromper, je ne le connais pas perso) que ce soit parce qu’il a besoin de ???. Vu la carrière, le monsieur doit s’en sortir de ce côté là.
Il bosse avec ses enfants, avec des potes. Visiblement, il n’attend pas la retraite !

Je trouve ça hyper inspirant.

Gagner de l’argent en faisant un truc que tu aimes. 
Ça semble tellement simple dit comme ça. Tellement “bah oui…” 
Et pourtant, dans ma vie, dans la tienne, ce n’est pas encore tout à fait ça. Non ?

Tu me répondras que des gens comme Alain Souchon, il n’y en a que quelques uns. Happy few.
Qu’il faut du talent, de la chance, du piston ou je ne sais quoi d’autre encore.

Du talent, on en a toutes. ?
Pas les mêmes (heureusement), mais tout le monde en a. 
Encore faut-il les voir !  
Une fois qu’on reconnaît que, oui bon … c’est vrai, si vous insistez, j’avoue que… j’me débrouille pas mal.
Qu’est ce que j’en fais de ce talent ? C’est pas un métier !
Mais c’est un chouette programme de chercher au service de quoi je peux l’utiliser. Dans quelles circonstances, il va faire la différence ? 
Encore mieux, le développer pour devenir encore meilleure et experte.

Tiens, au fait, quel talent tu as envie de faire progresser en ce moment ?

De la chance, on en a toutes. 
Des opportunités, des rencontres improbables, des synchronicités… 
C’est comme les talents, encore faut-il les voir, les saisir.
Il paraît que Souchon a écrit Foule Sentimentale en attendant Voulzy, qui était en retard à leur rdv. 
Il y a un an, j’ai envoyé un sms à une nana que je connaissais vaguement via un groupe FB, en attendant mon fils devant le collège. Nous avons échangé, ça a matché et elle m’a accompagné dans ma transition pro ?? et plus encore.

Quel truc génial s’est joué pour toi pendant que tu attendais un rdv ?

Quelle idée de ouf va te venir dans une salle d’attente, que tu vas noter sur ton smartphone ou ton cahier et qui sera le premier pas vers une nouvelle vie ?

Du piston, on en a toutes. ?
A moins de vivre en ermite dans un grotte, tu connais forcément quelqu’un qui peut t’aider ou te filer ses codes Disney + (oups… je m’égare ?).
Du réseau, on dit quand on est grand. 
L’avantage d’être vieille, c’est que tu as rencontré des tas de gens dans ta vie pro ou perso. Si tu vois sur LinkedIn qu’un pote de lycée fait le métier dont tu rêves. Vas-y ! 
Même si tu n’es pas trop réseaux sociaux, ce sont des outils tellement pratiques pour entretenir un réseau ou le ranimer quand on l’a laissé un peu en jachère.

Avec qui as-tu envie de renouer, de prendre des nouvelles ?

Gagner de l’argent en faisant un truc que tu aimes. 

En vrai, il y a pas mal de choses apprises et  bien ancrées à transgresser pour en arriver là.
Mais avec du talent, de la chance et du piston …. tu vas y arriver ?.

B

Françoise Bourgouin - coaching de carrière

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