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Attention fragile !

Attention fragile !

Quand tu as envie de retrouver du sens dans ta vie pro’, tu veux un projet plus en accord avec la femme que tu es aujourd’hui, avec tes aspirations, ton expérience. C’est bien de l’écrire, mais le faire…. euh …. c’est où la notice ? ??

Souvent, tu restes scotchée, engluée dans ton malaise « confortable ».

Confortable parce que tu as un salaire, des avantages, un CE, un environnement connu et maitrisé.

Tu restes collée parce que tu ne penses qu’à l’issue, au bout du chemin, au switch.Et comme, justement, tu ne le vois pas ce bout du chemin, c’est flou donc effrayant, tu restes là. Parce que l’alternative semble être « sauter dans le vide ». Personne n’en a envie !

Cette issue semble inaccessible. Un peu comme le sommet que te montre le guide en début de rando en montagne (le moment où tu te dis que t’aurais dû choisir piscine cette aprêm !).  

La bonne nouvelle, c’est que entre « tiens j’irai bien voir ailleurs » et ton pot de départ, il va se passer des millions de choses (je t’assure, je suis passée par là). Et enclencher une réflexion ne veut pas dire tout quitter. C’est, au contraire, une bonne façon de sécuriser le chemin vers plus de sens et de plaisir au travail.

Et rien à voir avec une histoire de courage que t’aurais (ou pas) de te jeter dans le vide ou d’escalader la montagne en tongs.

Le premier pas

Une des premières choses est de décider que tu vas activement construire ce nouveau projet. Tu ne sais pas encore lequel, ni où, ni comment, mais tu sais que tu veux que ça change.

Alors, tu peux commencer par acter que :

 Tu ne veux plus de la situation actuelle.

Acter que tu veux que ça change, ne veut pas dire tout quitter et faire n’importe quoi. 

C’est juste décider qu’à partir d’aujourd’hui, je démarre un projet dont l’objectif est de retrouver du sens et du plaisir dans mon quotidien professionnel. Sans préjugé d’où cela va me conduire. Les chemins peuvent être multiples.

Cela peut aller d’une évolution de mes missions (en mode jobcrafting), de mes conditions de travail à une mutation interne ou externe, ou carrément, un changement de métier. Le niveau de changement qui convient n’est pas évident a priori. Il fait partie des objectifs à déterminer lors de cette phase de réflexion.

Pourquoi c’est important d’acter ce début de changement ?

Parce qu’il y a un deuil à faire.

On ne se détache pas d’une entreprise où on travaille depuis 15 ou 20 ans en un claquement de doigts. Il y a probablement tout un tas de loyautés et d’attachements (à ton équipe, à certains collègues, à la dame de la cantine qui te garde ce que tu aimes quand tu arrives tard, à ton nom sur la porte !) à dénouer avant de partir.

2 – Tu vas agir pour que ça change.

Pour l’instant, tu ne sais ni quand, ni pour quoi faire, ni où tu vas partir, tu es en phase de recherche, d’exploration. Le gros avantage de cette étape en amont de « au revoir président », c’est qu’elle est sécure. Tu ne mets rien en danger de ton confort, de tes revenus actuels. Comme m’a dit une cliente, « mon cerveau travaille en tâche de fond ».

Attention, ne pas se mettre en danger, ne veut pas dire ne rien faire, ne rien oser.

Du coup le côté sécure, pas si sûre ! (sécure pour ta banquière intérieure surtout. Mais c’est elle que tu dois convaincre, non ? ??)

C’est une période où tu vas te reconnecter à toi, tes envies, tes besoins, tes valeurs

Et ça, c’est super facile à écrire (encore une fois), mais dans la réalité, si ça fait 20 ans que tu es en sur-adaptation, et bien, tu les as bien perdus de vue ces trucs-là (besoin, envies, toussa…)

Alors, quand tu vas allez voir ce qui se trame là-dedans, tu vas peut-être voir des aspects de toi que tu ne veux pas trop voir justement.

Tu vas essayer des nouvelles façons de faire dans tes relations, dans tes activités,  ̶q̶u̶i̶t̶t̶e̶r̶ ̶t̶o̶n̶ ̶m̶e̶c̶,̶ ̶o̶u̶p̶s̶ ̶j̶e̶ ̶m̶’̶é̶g̶a̶r̶e̶.̶ Tu vas tester, interagir, oser, modifier, évaluer.

Bref, tu vas te mettre en action et forcément, parfois, tu sortiras de la famous « zone de confort ». Arghhhh !!?? 

C’est une période de fragilité.

En te reconnectant à toi, tu vas enlever des couches de protection que tu as installées depuis des années. Parce que le bon projet est celui qui part de toi, de l’intérieur. Quand tu vas faire ce travail de recherche et d’exploration, petit à petit, tu vas exposer la « vraie toi ».

C’est là que ça fout la trouille.

Ok, ça ne fait rien à ton compte en banque, mais pour le reste c’est autrement plus remuant. 

C’est une période de fragilité.

Comme les animaux qui muent??, tu n’as plus ta carapace ultra renforcée. Tu te retrouves plus exposée. Alors que ton projet d’après n’est pas encore clair et que ta confiance en toi, c’est work in progress.

L’avantage de ne plus avoir de carapace, c’est que tu vas pouvoir grandir et prendre la forme que tu veux dans un nouveau projet professionnel sur mesure.

L’inconvénient, c’est que l’avis ou les remarques de ton entourage peuvent faire mal, voire te décourager. C’est une période où tu doutes, où tu remets en question des fonctionnements installés depuis des années.

Cette étape de fragilité, d’exposition est indispensable. Si tu ne passes pas par une vraie introspection, il y a un risque que le projet d’après reproduise les même schémas que tu connais actuellement (une fois la nouveauté passée). 

 Si tu te sens prête à te lancer dans cette aventure (je t’assure que ça en vaut la peine), je t’invite à penser aux protections que tu peux mettre en place sur ton chemin. Des copines bienveillantes et sans jugement, des groupes d’échange avec des personnes dans la même dynamique que toi.

Tu peux recevoir mon guide « premiers pas » pour poser le début de ta réflexion.

<p « = » » style= » » tve-droppable »= » »>Il te permettra pour mettre de la clarté dans :– d’où vient le malaise actuel ?– qui je suis aujourd’hui ?– quelle vie pro je veux ? 

??—- Tu peux aussi décider de te faire accompagner et d’investir sur toi et ton avenir.

Mon programme « Je rénove ma vie pro » te permet de :

  • ne pas rester seule avec ton introspection.
  • d’échanger avec des nanas de ton âge, qui se posent les même questions.
  • d’avoir un environnement bienveillant où tu peux t’exposer sans risque.
  • de gagner du temps dans ta démarche avec le coaching (arme fatale contre le bullshitage !
Comment débloquer vos idées de reconversion ?

Comment débloquer vos idées de reconversion ?

 

Ça y est, vous êtes décidée. Après des mois (années?) à l’avoir remise sous le tapis, là ça y est, vous y allez. Vous voulez changer de vie professionnelle. 

Bravo.

Passé l’excitation du démarrage, vous vous retrouvez un peu perdue. Bloquée dans ce projet de reconversion professionnelle. Beaucoup d’idées ou pas assez. Peur de passer à l’action. Des pistes, mais vers où aller ? Comment être sûre de ne pas se planter ? 

Après tout à 50 ans, je ne peux pas me permettre de me louper. Hein ?

On me dit qu’il faut que je sois à l’écoute.Que je sache qui je suis aujourd’hui. Quelles sont les valeurs qui m’animent. 

Votre cerveau carbure à fond. C’est même l’ébullition. 

Et pourtant, ça n’avance pas. 

Vous avez un sentiment de flou. L’impression d’avoir renversé toutes les pièces du puzzle sur la table, et de ne pas arriver à les assembler. 

Vous vous sentez bloquée dans votre projet de changement de carrière.

Et c’est énervant ! Flippant, car ce projet de changer de carrière est si important pour vous !

 

Qu’est ce qui se passe ?

 

Vous avez l’impression que votre cerveau bugue. 

Et c’est ça !

Enfin, plus exactement il biaise !

Notre cerveau utilise en permanence des biais cognitifs. Ces biais sont une des raisons qui vous amènent à vous sentir coincée dans votre changement professionnel. Ils influent directement sur votre prise de décision et vont provoquer cet effet “tour de parking”. 

 Il existe beaucoup de biais cognitifs. Nous verrons dans cet article ceux qui vous freinent dans un projet de reconversion. Et surtout, comment les identifier et les dépasser pour réussir à avancer vers une nouvelle vie pro.

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 1. Biais d’ancrage : comment l’ancrage vous fait ignorer des pistes/idées de nouveaux métiers?

 

Le biais d’ancrage est l’importance disproportionnée qu’on accorde à la première impression ou la première information que nous apprenons sur un sujet.

Cette “première impression” va alors affecter la façon dont nous allons interpréter les informations que nous recevrons ensuite sur ce même sujet. Et potentiellement, fausser notre système de prise de décision.

Par exemple : 

Vous faites votre marché et vous voyez des fraises magnifiques à 15 € le kilo. Chez le primeur qui est un peu plus loin, vous les trouvez à 9 €. 

Vous êtes beaucoup plus susceptible de les voir comme une bonne affaire, que si vous n’aviez jamais vu le premier prix.

 

Dans vos pistes de reconversion, il y a professeur des écoles. Mais la première info que vous avez reçue sur le parcours pour devenir instit’, c’est l’échec au concours de la belle soeur d’une collègue. Cette anecdote va peser sur votre cheminement vers ce choix de carrière. 

C’est la même chose quand vous contactez quelqu’un pour une enquête métier. Si cette personne est négative, vous garderez cette première impression.

Peu importe les informations que vous entendrez ensuite – tout sera mesuré par rapport à cette «ancre».

Dans les petites décisions, ce biais d’ancrage nous aide à faire des choix comparatifs rapidement, sans surcharger notre cerveau d’informations.

Mais dans des choix plus importants, comme votre future carrière, ce biais d’ancrage agit comme un filtre inconscient. 

Cela vous fera probablement écarter des possibilités parfaitement bonnes pour vous et affiner vos options trop rapidement.

 

Ce biais est inévitable. Mais une fois que vous en avez conscience (donc après avoir lu cet article ?), voyons comment limiter son action.

 

 Comment contrer mes ancrages ?

 

    1.2 – Multipliez les sources d’information

    Quand vous explorez une piste de reconversion, un nouveau métier, récupérez un maximum d’informations. Issues de sources différentes. 

    Si vous menez des interviews sur une carrière, faites le avec plusieurs personnes. Allez chercher des données par différents moyens. Allez chercher un avis, un point de vue différent.

    Ensuite prenez le temps d’analyser les données obtenues, en regard de votre ancrage de départ. Il peut être intéressant de partager ces informations avec quelqu’un d’autre, qui n’a pas le même ancrage que vous. La confrontation vous aidera à avoir une vision plus factuelle et objective. 

    Laissez-vous du temps. 

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      1.2 – Créez-vous une nouvelle ancre

      Une fois que vous avez pris conscience de cet ancrage, vous pouvez poser un autre choix. 

      Par exemple : 

      Vous venez d’une famille où l’on évalue la réussite professionnelle en fonction du statut et du salaire. Vous comprenez que cela vous ferme des pistes de reconversion. Des envies fortes vont être qualifiées de “farfelues” via le prisme de cet ancrage.

      Vous pouvez alors choisir une autre ancre : d’autres critères pour évaluer la réussite professionnelle (l’alignement, la joie, etc…)

      2- Je n’ai pas trop d’idée de métier : le biais de disponibilité 

       

      Si vous prenez rarement l’avion, à chaque décollage vous êtes inquiètes (tétanisée ???) à l’idée que quelque chose se passe mal. Pourtant vous avez plus de chance d’avoir un accident de voiture, qu’un crash aérien. Et vous prenez votre voiture chaque jour et ne pensez à l’accident que très rarement. 

      Le cerveau privilégie les informations directement disponibles, les plus usuelles, mais aussi, les plus récentes, les plus chargées d’émotions ou les plus spectaculaires, car elles lui arrivent plus facilement.

      La couverture médiatique des accidents d’avion est bien plus importante et impactante que celle des accidents de voiture. Et, parce qu’il y a un facteur de choc impliqué, plus faciles à mémoriser, vous êtes donc plus susceptible de surestimer le risque.

       

      Ou, pour le dire très simplement: «Ce que je vois est tout ce qu’il y a».

       

      Lorsque vous pensez aux options qui s’offrent à vous pour votre prochaine carrière, il y a de fortes chances que la liste soit assez courte : 

      les carrières dont vous entendez beaucoup parler,

       moins 

      celles pour lesquelles vous pensez ne pas être qualifiée.

       

      Votre perception de ce qui est possible pour votre avenir est définie par ce qui vous vient le plus facilement.

       

      C’est pourquoi on a souvent l’impression qu’il n’y a pas de voie à suivre.

       

      C’est également pour ça que le bilan de compétence ne vous fait pas avancer. Il se base sur ce que vous savez déjà, ce que vous faites déjà. 

       

      Plutôt que de penser : 

      «Il y a des centaines de milliers de carrières possibles. Je ne les connais pas toutes. Aussi ce que j’ai à faire est d’en découvrir quelques-unes de plus. Et ça, c’est une belle première action» 

      Votre cerveau se dit :

      « Je ne peux penser qu’à 6 carrières pour le moment, et je ne suis qualifiée pour aucune d’entre elles. Bon, ben j’ai pas d’idée”.

       

      Le biais de disponibilité peut aussi, comme dans l’exemple avion / voiture, déformer notre perception du risque, de sorte que nous finissons par nous inquiéter des mauvaises choses.

       

      Vous vous souvenez peut-être de Marie-Pascale, qui bossait avec vous et a quitté son boulot. Elle a investi toutes ses économies pour démarrer sa propre entreprise et a échoué. Obligée de retrouver un job salarié et provoquant des tensions dans sa famille.

       

      Le fait que ce soit la seule personne que vous connaissiez qui a essayé de démarrer une entreprise – et qui a échoué de manière aussi dramatique – vous fait surestimer énormément le risque de démarrer une entreprise. Vous aurez alors tendance à ne même pas considérer cette piste. 

      La seule histoire qui reste dans notre tête est la catastrophe, et c’est ce qui dicte nos prochaines étapes.

       

      Alors que faire contre le biais de disponibilité ?

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      2 -1. Gardez votre esprit en mode découverte

       

      Une partie du problème avec le biais de disponibilité est qu’il nous fait supposer que les limites de notre expérience sont les limites de la réalité. Qu’il n’y a rien d’autre.

       

      Alors dans vos objectifs de reconversion, fixez-vous la mission de découvrir des choses nouvelles et surprenantes.

      Plus vous élargirez votre vision, votre connaissance en matière de métier, de carrière, plus vous aurez d’idées nouvelles.

      2 – 2. Recherchez des données concrètes 

       

      Le biais de disponibilité est un raccourci cognitif – un moyen psychologique d’équilibrer vitesse et précision.

       

      La meilleure façon de contrer cela est donc… de compter. D’aller chercher des données précises et concrètes. Des chiffres, des réalisations…

      Avant d’abandonner une idée, comment je peux rencontrer des personnes qui font ce métier ? Comment se sont -ils formés, ont-ils démarré ? 

      Qu’est-ce que ceux qui ont réussi ont fait différemment de ceux qui ont échoué?

       

      Cela peut sembler terne et prendre du temps, mais les faits concrets sont les seules choses qui vous donneront la réalité d’une situation. 

      Vous pourrez alors poursuivre, ou non, sur cette piste de reconversion en toute connaissance de cause.

      3. Le biais de confirmation donne le pouvoir à vos croyances

      De tous les biais cognitifs, c’est probablement celui que vous connaissez le mieux.

       

      Le biais de confirmation est notre tendance à rechercher, remarquer et mémoriser des informations qui confirment notre réalité actuelle ou nos croyances.

       

      Par exemple : vous voulez changer de portable. Vous êtes convaincu que iPhone est le meilleur téléphone du marché. Dès lors, inconsciemment, vous interprétez toutes les informations qui vous arrivent de manière à ce qu’elles corroborent votre idée initiale. A cause de ce biais, vous éliminez tout ce qui infirme votre choix et retenez, voire amplifiez tout que ce qui le confirme.

       

      Si vous craignez que changer de carrière ne soit un désastre, alors les histoires et les scenarii qui rendent le changement de carrière risqué et voué à l’échec retiendront plus votre attention que les réussites.

      Les exemples de personnes effectuant des changements réussis passeront sous votre radar. Ou vous les lirez et les oublierez beaucoup plus vite que les exemples de personnes qui ont essayé et échoué à trouver un travail épanouissant.

       

      Si vous organisez des interviews dans vos enquêtes métiers, méfiez-vous que vos questions ne soient pas orientées et servent juste à confirmer vos croyances préexistantes.

       

      Cela signifie que peu importe votre motivation à vouloir changer de carrière, ou votre envie que les choses soient différentes de ce qu’elles sont, vous collectez inconsciemment des preuves qui vous maintiennent dans un mode bloqué.

       

      Comment éviter le biais de confirmation ?

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      3-1. Essayez d’énumérer sur papier vos croyances et vos craintes les plus fortes au sujet de votre changement de carrière 

      (en gardant à l’esprit que certaines d’entre elles ne ressembleront même pas à des croyances – elles peuvent sembler des «faits»)

       

      Ensuite, cherchez activement des moyens de contester ce que vous pensez voir. Recherchez des informations auprès de diverses sources et rassemblez les données dont vous auriez besoin si vous vous engagiez dans un débat pour soutenir le point de vue opposé. Comparez-les ensuite avec les informations que vous avez utilisées pour étayer votre décision initiale.

      3 – 2. Partagez vos idées avec d’autres personnes


      Parlez de votre projet de reconversion avec le plus de personnes possibles. A chaque fois, prenez le miroir qu’elles vous tendent. Regardez avec leurs yeux, leurs croyances, leur vision. 

      Plus vous aurez de “soutien”, de personnes avec qui échanger sur votre projet, moins vous vous enfermerez dans vos croyances limitantes. 

      En verbalisant vos idées, elles prendront une nouvelle réalité. Les questions de votre interlocuteur

       

      4. Le coût irrécupérable : ma reconversion , tout ça pour ça !

      Késako (“sunk cost” in english, si vous voulez approfondir le sujet) ?

      Les coûts irrécupérables sont les coûts qui ont déjà été engagés, qui ne sont ni remboursables ni récupérables, et que l’on craint de voir « gaspillés ».

      Par exemple : 

      Vous allez au cinéma et vous ne quittez pas la salle, même si le film est archi nul, parce que vous avez payé votre place.

      En fait vous avez le choix entre :  

      1 – Avoir dépensé un billet de cinéma et partir faire autre chose de moins ennuyeux

      2 – Avoir dépensé un billet de cinéma et s’ennuyer une heure de plus.

      Dans les deux cas, il est impossible de récupérer l’argent du billet. C’est donc la première option qui serait objectivement la meilleure. Pourtant, nous sommes nombreux à opter pour la seconde.

      Concernant votre carrière actuelle, vous arrivez à presque 50 ans, plus de 20 ans d’expérience. Vous y avez consacré beaucoup d’énergie, de temps de formation. Vous vous êtes investie dans de nombreux projets.

      Est-ce que changer aujourd’hui vous donne l’impression que tout ce temps et cette énergie ont été du gaspillage?

      Les coûts irrécupérables au travail, c’est la tendance à continuer à faire quelque chose qui n’a plus de sens, simplement à cause de tout ce que vous y avez déjà investi. (Les efforts de vos parents pour vous payer vos études, les formations payée par votre employeur, vos efforts pour arriver à votre statut actuel, etc….)

      Pourtant à chaque fois que vous essayez de vous convaincre que ça va aller, que vous allez continuer, ça ne va pas. Vous savez que vous n’êtes plus au bon endroit et que ça n’ira plus jamais bien. Plus vous resterez, plus ce gaspillage irrécupérable grandi.

      Comment contrer les coûts irrécupérables ?

      4-1. Commencez par qui vous êtes aujourd’hui.

       

      Le passé est, par définition, terminé. Vous n’y pouvez rien, sauf mesurer ce qu’il a fait de vous aujourd’hui.

      Vous êtes le résultat de toutes ces heures, de tous ces efforts. 

       

      Commencez par prendre la pleine mesure de tout cela.

      Que retirez-vous de cette grande expérience ?

      Quelles sont vos compétences, vos talents ?

      Quelles valeurs vous animent et vous font avancer ?

      Qu’est-ce qui fait sens ?

      Où est votre flow ?

      Quelles sont vos ressources ?

      Quel est votre réseau ? Comment pouvez-vous l’utiliser pour la suite ?

       

      Les questions sont nombreuses. 

      4- 2. Prenez du recul et changer d’échelle.

      Imaginez – ou dessinez – une chronologie de votre vie, de votre naissance à la fin. Ensuite, regardez le temps qu’il vous restera probablement. 

      Comment voulez-vous vous sentir en ces jours, ces mois et ces années?

      Faire un zoom arrière sur la «grande image» de votre vie peut mettre beaucoup de choses en perspective.

      4- 3. Acceptez vos erreurs

      Une partie du biais des coûts irrécupérables est basée sur la peur de se planter ou  d’avoir l’air nouille devant d’autres personnes (amis, parents, collègues…) Changer votre relation avec vos échecs peut faire une énorme différence.

      Entraînez-vous à admettre vos erreurs, à les comprendre. Au lieu de les cacher, parlez-en ouvertement aux autres et partagez ce que vous en avez appris. 

      Quel soulagement que vous ne fassiez plus cette erreur ! Comme vous avez été courageux d’essayer même en premier lieu !

      Cela vous semblera inconfortable au début, mais devenir quelqu’un qui est prêt à se tromper facilitera vos prises de décision.

       

       

      Les biais cognitifs sont inévitables. ils peuvent faciliter le fonctionnement du cerveau sur les tâches simples. 

      Mais votre projet de reconversion est tout sauf une tâche simple.    

      Par ailleurs, rappelez-vous qu’un être humain n’a pas qu’une tête. Vous avez aussi un corps et un coeur, avec des ressentis, des émotions, des intuitions.

      Utilisez tout ce potentiel pour votre envie de changement. 

      Françoise Bourgouin - coaching de carrière

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      Comment bien sortir de sa zone de confort

      Comment bien sortir de sa zone de confort

      Ah les sorties de zone de confort…

      Derrière se cacherait le monde merveilleux de l’épanouissement 2.0, la zone de magie.

      C’est écrit et dit partout : il faut sortir de ta zone de confort.

      Limite tu es une pauvre endive trop cuite si tu ne tentes pas une sortie par jour.

      « Osez » qu’ils disent tous !

      Go, go, go…

      Des conseils, des clés, des astuces, des étapes, de l’efficace, du rapide, du 100% garantie.

       

      Ok ok j’veux bien, mais comment on fait ? Déjà, quand on me dit “il faut”, je tique. 

      Alors quand on me dit, il faut te faire mal !!! J’over-tique !

       

      L’objet, ici, n’est pas de te dire qu’il ne faut pas sortir de cette fameuse zone de confort. C’est plutôt sur le comment la faire cette sortie de zone de confort que je m’interroge.

      Je ne veux pas faire ma mismatch de base (quoique!?), mais il y a un gros MAIS dans cette histoire.

      Comment on sort sans se faire mal ?

       

      Comment sortir de sa zone de confort de façon écologique en s’écoutant et en apprenant sur soi et son fonctionnement.  #zonedeconfort #confortzone #zonederoutine #peur #motivation #engagement #reconversion #coachingcarrière  #nouveaujob #transition #nouveaujoba50ans  #francoisebourgouin  #coachingprofessionel #coachtroyes #transitionprofessionnelle #epanouissementprofessionnel #coachfemmes #changementcarriere #changementprofessionnel #donnerdusens

      C’est quoi cette zone de confort finalement ?

      On en parle partout. 

      Dès que quelqu’un fait un chouette truc, on dit : “whouah…sacré sortie de zone de confort !” Et tout le monde se regarde d’un air entendu.

      Mais est-ce que c’est si confortable que ça c’t’endroit ? 

      Si tout le monde veut en sortir, c’est qu’il y a un loup non ?

       

      La zone de confort, c’est tout ce que nous maîtrisons sans effort notable. Une zone de routine, où nous faisons les choses sans difficulté.  

      C’est surtout la  zone du connu

      Je sais faire cuire des pâtes, je sais faire un tableau croisé dynamique sur excel (et oui !), je sais repasser une chemise, je sais démarrer une tondeuse.

      Tout cela fait partie de ma zone de confort.

       C’est aussi une zone où on est à l’aise, où on se sent en sécurité.

       

      De là à dire que c’est confortable, pas sûr !

       

      Si mon job est un placard, je le maîtrise totalement, mais ce n’est pas confortable. Je m’y sens carrément mal.

       

      C’est aussi une zone où rien ne change. 

      Bah non, des fois qu’on ne soit plus en sécurité ! 

      Donc il ne se passe rien, ou pas grand chose (juste tu passes des coquillettes aux spaghetti). Il n’y a pas d’expérimentation, ni d’exploration

       Si tu veux faire bouger les lignes, il est logique de vouloir sortir de ce confort moyennement confortable.

       Là dessus, je suis d’accord, il faut agrandir le périmètre et aller explorer le monde autour.

      Comment gérer cette sortie de zone de confort ?

      Parce que, par définition, ça va être inconfortable, bah oui, si c’est pas confort ! Déjà que ce n’est pas vraiment confort dedans, alors dehors ! ouille !

      La façon, dont c’est présenté la plupart du temps, c’est : “Aller ma cocotte, prend une grande respiration et lance toi. Fonce, ose, dépasse ta peur” Soit une warrior ! Tu verras, ça vaut le coup, après c’est magique.

      Traduction : sois forte.

      Il y a des chances que ça fasse flop ou pouf ou tchak à un moment

      Pourquoi ?

      Si tu vas vers de l’inconnu, il est probable qu’une peur fasse son apparition.

      Il y a une émotion qui se cache par là. Si, si !

      Une émotion que tu ignores, que tu nies en prenant sur toi avec ton déguisement de wonder woman “sois forte”.

      Une émotion que tu n’explores pas en te forçant. Tu roules dessus façon bulldozer.

      Et derrière cette émotion, cette trouille, il y a un besoin qui n’est pas satisfait (parfois plusieurs même).

      Quel besoin ma p’tite dame ?

      Ce serait peut être utile de l’identifier, de creuser.

      De comprendre ce qui se joue, de progresser dans la connaissance de toi et de ton mode de fonctionnement.

      Là aussi c’est inconfortable et difficile d’aller voir ce qui se tapie derrière ces émotions.

       

      Alors tu choisis quel inconfort ? 

       

      Si tu y vas en force

      Je vois 2 options.

      1 – ça fonctionne, tu obtiens du résultat. Youhou ! trop cool je suis la reine du monde pendant 5 min. La prochaine fois, il faudra encore plus prendre sur toi, parce que tu n’as rien résolu, juste remis sous le tapis. Au risque, à un moment, de te prendre les pieds dedans (oui métaphore un chouille pourrie, mais bon…)

      2 – ça foire : je suis nulle je retourne à ma PLS canap-netflix-granola. Confiance en soi un peu plus dégonflée. La prochaine fois, ce sera encore plus difficile d’y aller.

       

      Si tu acceptes cet inconfort

      Tu acceptes qu’il soit là dans un coin de ton ventre, tu l’accueilles et tu le vis. Tu t’attelles à comprendre quel.s besoin.s se cache.nt derrière cette trouille

      Bah t’as toujours la trouille, mais tu as des infos sur toi.

      Un besoin c’est concret, tu ne peux, peut être, pas le combler ou y répondre tout de suite parce qu’il te faut un apprentissage ou une info que tu n’as pas. Mais tu sais où ça coince. Tu comprends mieux comment tu fonctionnes. Tu sais où tu peux agir.

       

      Prenons un exemple :

      Je ne supporte plus mon boulot (peu importe pourquoi) et j’aimerai bien aller voir ailleurs. D’ailleurs, j’ai une super idée de projet entrepreneurial et je suis hyper tentée par l’aventure.

      J’ai commencé, en side project, à faire une étude de marché, définir ma cible, construire et tester mon offre, etc…

      Mais reste la décision d’arrêter le salariat. Pour de bon, pas juste en rêve. 

      Et là, le trouillomètre explose.

      option 1 : j’ose, je prends sur moi, je démissionne. Si dans 1 an mon projet ne fonctionne pas comme je veux, oui je te l’avais bien dit, j’en étais sûre…

      option 2 : je vais chercher ce qui me fait peur.

      • manquer d’argent ? j’explore, je compte quel revenu il me faut exactement, combien de clients ça représente….est-ce atteignable et qu’est-ce il me faut pour sécuriser l’obtention de ce revenu : formation, réseau, marketing, communication, etc…
      • peur de l’échec : du jugement de mes proches, de ne plus être la fille ou la femme parfaite, d’être faillible. Est-ce que je peux accepter cette situation, en parler ?
      • manque de visibilité : ne plus avoir un revenu régulier, vivre sans sécurité financière. Comment je peux sécuriser à un niveau acceptable pour moi ? (temps partiel?)
      • peur d’être seule : de ne plus avoir d’équipe autour de moi, de ne pas savoir gérer mon temps, mon organisation, ma procrastination, etc….

       

      Je pourrai continuer la liste encore longtemps, car les motifs de peur sont nombreux et différents d’une personne à une autre. 

      En allant explorer finement, ce qui me fait peur, en identifiant les croyances qui sont derrière, les émotions, les beoins insatisfaits, je vais incroyablement progresser dans ma connaisance de moi-même. 

      Ce n’est pas parce qu’un fonctionnement est identifié qu’il ne revient plus. Mais quand il revient, il est plus rapide à décrypter. A chaque fois, le confiance en soi augmente un peu. Et ça, ça n’a pas de prix !

      Sortir de sa zone de confort = vivre sa peur

      C’est pour cela qu’il est intéressant d’aller la vivre, cette peur, même si c’est archi-inconfortable. De la comprendre, de débusquer le besoin qui se cache derrière. 

      Ce besoin, tu peux ensuite le combler, y répondre. Tu reprends la main, tu te mets en action. 

      Alors il est difficile, parfois, de bien l’identifier ce besoin. Il peut être nécessaire de se faire accompagner, parce que le chemin est difficile à trouver. Il arrive qu’on se trompe dans notre analyse de cette peur. 

       

      Mais une chose est sûre, sortir de sa zone de confort, sortir du connu sans comprendre ce qui se joue pour toi, c’est vraiment prendre le risque de se faire mal. 

      C’est un peu comme les régimes. Tant que tu ne sais pas pourquoi tu manges, quel besoin tu combles en mangeant, tu peux faire tous les régimes de la terre, tu regrossiras après.

       

      Tu sors de ta zone de confort parce que tu as fait un choix. Tu veux atteindre un objectif. Tu veux de la transformation et ça passe par une avancée vers l’inconnu.

       

      sortir de sa zone de confort

      =

      mettre son énergie à vivre cet inconfort

      +

      comprendre les besoins insatisfaits 

      sortir de sa zone de confort 

      mettre son énergie à prendre beaucoup d’élan 

      Françoise Bourgouin - coaching de carrière

      Vous vous interrogez sur le bilan de compétences ou le coaching, venez m’en parler en rdv exploratoire. Mon agenda vous attend ici. Ce sera un premier pas pour reprendre la main sur votre vie professionnelle.

      Vous voulez un premier pas accessible : je vous partage des conseils concrets et des exercices pour guide votre réflexion dans mon livre : "Mieux vivre sa carrière à 50 ans"

      Vous pouvez également me suivre sur LinkedIn chaque semaine.

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      Comment annoncer votre changement de carrière à vos proches ?

      Comment annoncer votre changement de carrière à vos proches ?

      [thrive_leads id='2680']

      Ce n’est pas parce qu’on est une grande fille qui s’assume, que c’est facile d’annoncer un changement majeur de carrière. Et encore moins, quand ce n’est encore qu’une envie de changement.

       

      Trouver un nouveau boulot, plus enrichissant et plus aligné avec ses valeurs peut s’avérer être une quête bien solitaire.

      Quel boulot est fait pour moi? Qu’est-ce qui va me rendre heureuse? Est-ce je vais y arriver ? Dans quelle direction chercher? Toutes ces questions, c’est à vous de vous les poser et à vous d’y trouver les réponses.

       Malheureusement aucune fée magicienne ne viendra sur sa licorne avec une réponse toute faite. Si quelqu’un vous dit le contraire, méfiez-vous de ce qu’il veut vous vendre !

       

      Voilà des semaines que vous cogitez sur ce projet. Il vous accompagne en permanence, il commence à prendre forme. Il prend même de plus en plus de place dans votre vie.

      Alors, il n’y a pas moyen d’y échapper. Vous pouvez retarder l’échéance, mais à un moment, il faudra annoncer à votre famille et à vos amis que vous travaillez sur une transition professionnelle. 

      Parce que ce projet, il ne va pas impacter que vous (à moins que vous viviez seule dans une grotte, mais dans ce cas, peu probable que vous me lisiez !)

       

      Et dire à votre famille et/ou vos amis que vous vous envisagez un changement de carrière, potentiellement risqué, peut leur faire peur.

      Que vont-ils penser (ou ne pas penser)? Que vont-ils dire (ou pire, ne pas dire) ?

      Leurs réactions peuvent avoir un impact énorme sur la façon dont vous allez gérer cette transition.

      Une fois que vous l’avez dit à voix haute, vous ne pouvez plus revenir en arrière.

      Vous ne voulez pas être jugée et vous ne voulez pas être découragée.

      Le soutien de vos proches est fondamental pour un changement de carrière réussi. Mais vous ne pouvez pas être sûre de la façon dont les gens de votre vie vont réagir.

      Voici 7 conseils pour réussir votre annonce et gagner vos proches à votre cause.

       

      Comment annoncer son changement de carrière à ses proches ? - françoise Bourgouin coach de votre carrière après 45 ans

      1 – Choisissez bien votre cheerleader !  

      A un moment donné, vous allez partager votre projet avec tous vos proches. 

      Mais à qui vous le dites et à quel moment peut être crucial pour la suite du projet. 

      Une réflexion ironique ou agacée de la part de quelqu’un qui compte pour vous peut faire dérailler le train de votre changement pro.

      Au contraire, un petit groupe de soutien, sélectionné avec soin, peut faire toute la différence entre finir par tout laisser tomber et mener à bien votre reconversion.

      La première personne, à qui vous annoncer votre souhait de changement de carrière, doit être une personne dont vous pensez qu’elle vous apportera son soutien et sera objective dans la conversation.

      Bien que votre conjoint soit votre interlocuteur privilégié pour toutes les choses de la vie, il sera également très impacté par votre décision. Et il n’est pas forcément la personne à prévenir en premier.

      Ce n’est pas parce que quelqu’un est dans votre vie, qu’il  a besoin de tout savoir sur ce que vous faites.

      Il y aura aussi des des gens pas trop emballés par vos idées de changement mais à qui vous vous sentez obligé de le dire : vos parents par exemple. Ils risquent d’être inquiets pour vous et votre prise de risque. Surtout que leur génération ne changeait pas de boulot comme ça. On faisait “carrière”.

      Alors ne culpabilisez pas de les laisser à l’écart : ne leur dites rien tant que vous ne savez pas vraiment où vous allez !

      Au fur et à mesure que votre projet se précise et se consolide, vous aurez de plus en plus confiance en votre décision de changement. Vous serez alors en mesure de soutenir et défendre votre position dans des conversations un peu difficiles, sans vous sentir remise en cause.

      Donc réfléchissez bien avec qui vous partagez votre projet de reconversion pro : 

      • vous vous rendrez service en ayant un groupe de soutien à vos côtés pour chaque étape
      • vous épargnerez du stress et des inquiétudes à vos proches en leur livrant un projet déjà bien ficelé.

      Souvent les gens moins proches, donc moins impactés par votre choix, sont bien plus aidants. 

      2 – Connaissez votre “pourquoi” ?

      Pourquoi dites-vous ce que vous dites à la personne à qui vous le dites ? (je vous ai perdue?)

      Est-ce que c’est juste pour information ? 

      Ou attendez-vous de cette personne qu’elle fasse quelque chose ?

      Quel serait le résultat “idéal” de cette conversation ?

      Parfois, nous entamons des conversations avec des attentes cachées, même pour nous-mêmes. Et puis, lorsque nous n’obtenons pas ce que nous voulons, nous sommes déçus ou agacés..

      Le fait de savoir ce que vous voulez ou ce que vous attendez de quelqu’un aura un impact sur le moment et la manière dont vous le présenterez au sujet de votre changement de carrière.

      Leur faire savoir pourquoi vous avez cette conversation avec eux les aidera également à vous donner ce dont vous avez besoin. 

      Je t’en parle parce que….j’aurais besoin…..ou  j’attends de toi ….”

      Comment annoncer son changement de carrière à ses proches ? - françoise Bourgouin coach de votre carrière après 45 ans

      3. Écoutez d’abord, parlez plus tard

      Lorsque vous partagez quelque chose d’aussi personnel et impactant qu’un changement de carrière, en particulier si vous y réfléchissez depuis longtemps, il est tentant d’ouvrir les vannes et de laisser tout sortir.

      Mais il est peu probable qu’un mélange d’émotions retenues, de craintes et d’attentes constituent de bonnes bases pour une conversation sereine et productive ! Et cela d’autant plus, si vous vous adressez à  quelqu’un qui va être directement impacté par votre choix de changement (par exemple votre conjoint, mais pas que !).

      Vous réfléchissez à votre décision depuis des semaines / mois et vous avez intégré des tas de choses à ce sujet. Mais pour votre interlocuteur, c’est tout neuf

      Vous avez eu des craintes, des freins, des croyances, que vous avez dépassés depuis que vous bosser sur votre projet. Alors imaginez bien que quelqu’un qui vous aime aura probablement les mêmes. Sauf que quand vous lui annoncerez, il n’aura que 5 minutes pour faire tout le chemin que vous avez mis des semaines à parcourir.

      Par ailleurs, pour beaucoup de gens, la nouvelle que vous choisissez de changer votre vie de manière aussi importante peut faire naître toute une série d’émotions inconfortables. Votre courage pourrait leur rappeler leurs propres peurs. Votre décision peut les forcer à examiner leurs propres décisions.Effet miroir, mon beau miroir ! Et certaines de ces pensées peuvent les faire se sentir mal. (genre : elle fait ce que je n’ose pas faire depuis des années)

      Donnez leur le temps de s’exprimer avant de balancer tous les détails du projet. Posez leur des questions. Analyser leur réactions pour mieux les comprendre.

      Ce n’est pas toujours facile, mais essayez d’écouter ce qu’ils ne disent pas autant que ce qu’ils disent.

      « T’es folle » Peut également signifier « Je suis terrifié pour toi. »

      La première étape pour pouvoir aider quelqu’un à comprendre ce que vous faites est de comprendre où il se trouve au début, calmement et avec empathie.

      Il faut le questionner pour l’amener à parcourir tout le chemin que vous avez fait depuis le début de votre projet.

      Il faut se concentrer sur la vision de votre interlocuteur et son ressenti plutôt que d’essayer de le convaincre ou de vous défendre.

      4. Pas d’a priori

      Une des plus grandes erreurs que vous puissiez commettre dans une conversation potentiellement difficile est de la répéter dans votre tête et d’amener ces a priori et ces peurs avec vous.

       

      Si vous entamez le dialogue avec la certitude que votre conjoint va mal réagir, vous orienterez inconsciemment la conversation dans cette direction.

       

      Si vous vous assayez avec une copine en sachant qu’elle va vous dire que vous êtes cinglée, vos défenses seront en place avant même d’avoir commencé.

      5. Donnez-leur un rôle à jouer

      Les parents sont souvent les personnes pour lesquelles votre changement de carrière est le plus difficile à comprendre.

      Peu importe votre âge, leurs pensées et leurs opinions ont toujours du poids

      Et non seulement, ils sont profondément intéressés par votre bien-être et votre bonheur, mais ils appartiennent également à une génération, qui avait une attitude très différente en ce qui concerne le travail et les carrières.

      Il n’est pas surprenant que beaucoup d’entre eux s’inquiètent quand vous leur annoncez la nouvelle d’un grand changement. Leur mission est toujours de vous protéger et vous soutenir, et là vous leur annoncez que vous sautez dans le vide ! (du moins c’est à cela que ça ressemble pour eux) C’est un peu effrayant !

      C’est aussi dur à entendre que vous voulez changer car vous n’êtes pas heureuse. Et qu’ils sont impuissants à vous aider dans ce domaine.

      Souvent l’inquiétude ou la peur que ressentent vos parents ressortent sous forme de colère ou de consternation. 

      Si vous n’écoutez pas très attentivement, vous passez en mode défensif et vous rentrez chez vous en murmurant à vous-même comment vous avez dû être adopté.

      Mais si vous écoutez attentivement, vous devriez pouvoir comprendre ces sentiments d’impuissance mal exprimés.

      Et la meilleure façon d’aider les gens que vous aimez à se sentir moins impuissants? Donnez-leur un moyen de vous aider.

      «Je comprends tout à fait que cela semble risqué pour vous. Cela me semble risqué aussi. Et c’est pourquoi j’aimerais votre aide pour quelque chose… »

      Qu’il s’agisse de garder les enfants un soir par semaine, de faire appel à leurs réseaux ou de vous réunir une fois par semaine pour exprimer vos idées les plus folles….

      Comment annoncer son changement de carrière à ses proches ? - françoise Bourgouin coach de votre carrière après 45 ans

      6. Montrez leur que vous êtes sérieuse

      Beaucoup de gens sont malheureux au travail.

      Beaucoup de gens flirtent avec l’idée de changer de carrière.

      D’autres passent des mois, voire des années, à dire combien ils détestent leur job.

      Pour les amis et la famille, il peut être difficile de comprendre que les choses ont changé maintenant. Vous n’êtes pas en train de vous plaindre, mais de réaliser un vrai et grand changement.

      Aussi ils peuvent sembler peu à l’écoute, car ils se disent que vous êtes juste dans une mauvaise passe au boulot. Ca passera !

      Trouvez un moyen de dire clairement que vous êtes engagé dans le processus et aidez-les à calmer leurs inquiétudes en leur offrant la preuve que vous vous occupez des problèmes potentiels.

      Si vous travaillez avec un coach ou si vous êtes inscrite à une formation, dites leur.

      Si vous vous êtes fixé une échéance pour quitter votre boulot actuel, dites leur. De même si vous avez déjà créer votre site web … Ces éléments concrets donneront de la crédibilité à votre démarche et à votre annonce.

      Vous pouvez même utiliser l’une de ces actions pour réaliser votre annonce. 

      Et surtout, rester calme et réaliste. Le meilleur moyen de montrer que vous êtes sérieuse et motivée pour changer de job, c’est d’éviter d’être sur la défensive d’emblée ou de faire preuve d’une confiance exagérée.

      Restez simplement claire sur ce que vous faites et répondez à  toutes les préoccupations avec vos proches.

      7. Soyez sincère

      Il y a probablement mille raisons pour lesquelles vous voulez changer de carrière, et mille pensées et idées qui vous traversent l’esprit.

      Mais connaître la raison principale, la raison la plus sincère derrière tout cela fera une énorme différence dans la façon dont vous pourrez communiquer avec vos proches.

      La logique, les raisons et les rationalisations peuvent toutes être débattues – mais vos sentiments profonds sont immuables.

      Et finalement, vos amis et votre famille veulent que vous soyez heureuse..

      Quand vous vous inquiétez de la réaction des gens à quelque chose, il est facile d’oublier d’être honnête. Mais en trouvant un moyen de parler avec le cœur, vous trouvez un moyen de vous connecter avec eux à un niveau profondément humain.

      Si votre pourquoi du #2 est suffisant pour vous faire changer de carrière, il est assez grand pour aider les autres à comprendre.

      Donc en résumé, pour préparer l’annonce de votre changement de carrière à vos proches, il est bon de : 

      1 – Bien choisir la première personne à qui vous l’annoncez (pas forcément votre conjoint ou vos parents)

      2 – Se demander pourquoi on le dit à telle personne (et ce qu’on attend de cette révélation)

      3 – Ecouter les réactions de l‘interlocuteur (verbales et non verbales) avant de balancer tout le projet sans respirer.

      4- N’ayez pas d’a priori sur la réaction de votre interlocuteur

      5 – Donnez un rôle à jouer dans votre projet  à votre interlocuteur (surtout si c’est un parent)

      6 – Prouvez que vous êtes sérieuse que ce n’est pas une lubie qui vous passera.

      7 – Soyez sincère et claire sur ce qui vous motive à mener ce changement.

      Françoise Bourgouin - coaching de carrière

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      Comment annoncer son changement de carrière à ses proches ? - françoise Bourgouin coach de votre carrière après 45 ans
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      Comment annoncer son changement de carrière à ses proches ? - françoise Bourgouin coach de votre carrière après 45 ans

      Changement de carrière à 50 ans : le secret de la réussite = les micro actions

      Changement de carrière à 50 ans : le secret de la réussite = les micro actions

      [thrive_leads id='2680']

      Réussir à changer de carrière à 50 ans, vous tourner autour de l’idée depuis un moment.

      Vous êtes mal dans votre job et rêver d’un changement de carrière. A « votre âge », vous vous demandez si ça vaut le coup. Le projet semble énorme et fait peur. En plus, vous n’avez pas trop d’idée. Vous voyez tout ce que vous avez à perdre et vous doutez.

       

      Et si vous regardiez les choses différemment ?

      Au lieu de voir ce changement de carrière comme un immense mur à franchir, si vous regardiez cela comme un chemin. Sinueux, parsemé de détours, alternant les descentes et les montées, mais pas d’à pic.

       

      Vous pensez peut-être trop grand.

      Un changement de mentalité simple mais profond peut vous aider à être énergique, confiant et à agir efficacement.

       

      Vous lisez des retours d’expérience sur des beaux changement de carrière. Ces personnes racontent leur expérience a posteriori. Et forcément ils font un résumé, ils ne détaillent pas toutes les mini choses qui se sont passées durant cette transition. Bien souvent, on a droit à une version “romancée”. Et oui, au final, ils ont changé de carrière. Ça donne le sentiment qu’ils ont accompli une big one action : changer de carrière.

      Mais ils ne vous racontent pas tous les détours qu’ils ont faits, les millions de micro actions qui ont contribuées à ce résultat.

       

      On parle de «changement de carrière» comme si c’était une action en en soi, seule et unique.

      Souvent, on fantasme sur un moment whaouh, puis une démission (au revoir président) et une toute nouvelle vie.

      Même si nous savons que ça ne se passe pas vraiment comme ça, c’est ce que nous avons intégré dans notre cerveau.

      Reconversion = grand changement

       

      Et cette façon de penser au changement de carrière est une partie importante de ce qui vous bloque.

      Parce que ce grand changement fait peur, il paralyse.

       

      Alors pour pouvoir se mettre en mouvement, quitter cette paralysie par rapport au changement, mettons nous en action avec des micro actions.

      Des micro actions qui vous font juste faire un petit pas sur votre chemin du changement.

      Une micro action dure moins de 5 minutes.

       

      C’est un mail rédigé, un numéro de téléphone composé, une inspiration profonde et le clic d’un bouton qui vous engage pour un événement.

      C’est rassembler le courage de parler à quelqu’un que vous ne connaissez pas dans une soirée réseau ; vous inscrire dans un cours de dessin; lever la main pour poser une question lors d’une conférence.

       

      Elles sont minuscules.

      Mais chaque micro-action que vous effectuez est incroyablement puissante.  A la fois elle vous fait progresser pas à pas vers votre nouvelle carrière. Et elle contribue à créer dans votre état d’esprit quelque chose de plus productif, plus énergique et plus confiant.

      Comment réussir son changement de carrière à 50 ans avec des micro-actions ? Françoise Bourgouin - coach de votre carrière après 45 ans.

      Pourquoi les micro actions sont géniales pour votre changement de carrière

       

      Elles sont trop petites pour être négocier

       

      Le principe de la micro-action, c’est de réduire la tâche à faire jusqu’à ce que vous ne puissiez plus dire non.

       

      Imaginons que vous vous êtes fixé comme objectif de contacter par mail 10 personnes pour votre enquête métier. Il y a de grande chance que vous repoussiez à plus tard (pas le temps, pas toutes les adresses, etc…) Du coup, vous n’avancez pas.

       

      Mais envoyez un mail à une seule personne, c’est déjà plus réalisable, non ?

      Et pourtant, vous pouvez toujours trouver une raison pour ne pas le faire tout de suite…

      Mon texte n’est pas au point, je n’ai pas le temps de le rédiger, je vais passer pour une quiche, etc….

       

      Alors pourquoi ne pas vous fixer comme micro-action :

      • choisir le nom d’une personne dans les 10 personnes de ma liste
      • caler un créneau dans mon agenda pour rédiger mon mail d’enquête.

       

      Voilà 2 tâches minuscules qui vous font avancer. Une sorte de pied mis dans l’entrebâillement de la porte. Une fois qu’elle seront réalisées (soit moins de 5 minutes), vous allez peut être vous dire : “Aller, pendant que j’y suis, je commence à jeter quelques idées pour mon contenu de mail.”

       

      Comment réussir son changement de carrière à 50 ans avec des micro-actions ? Françoise Bourgouin - coach de votre carrière après 45 ans.

      Elles construisent la motivation

       

      Attendre de la motivation avant d’agir, c’est comme crier « GO!” À une voiture à l’arrêt.

       

      Le changement de carrière est effrayant, peu importe le niveau de changement que vous visez (promo, nouvel emploi, changement de métier, entrepreneuriat…)

      Votre égo fait tout pour que rien ne change et vous donne un max d’arguments pour rester là où vous êtes.

      Attendre un élan de motivation suffisant pour renverser toutes ces raisons de rester, c’est risquer d’attendre pour toujours.

       

      Lorsque vous commencez à faire des micro-actions, vous bâtissez et entretenez votre motivation.

       

      L’idée est de faire suffisamment de petites actions simples, pour que certaines vous  permettent de récolter une récompense significative.

      Imaginons que vous avez rédigé votre mail et l’avez envoyé à une personne. Celle-ci vous répond rapidement et vous propose un skype pour échanger de vive voix. 

       

      Ce succès crée la motivation pour passer à la prochaine micro-action.

      Votre action, aussi minime soit-elle, génère de l’énergie, de la curiosité et de l’excitation.

      Et petit à petit, action après action, expérience après expérience, vous apprenez et vous avancez. Vous gagnez en inspiration.

       

      Elles s’additionnent

       

      Une micro-action n’est pas impressionnante en elle même. C’est même limite ridicule. Ce n’est pas un truc dont on se vente le soir en rentrant.

      “Au fait, tu sais quoi, j’ai envoyé un mail aujourd’hui”.  

      « Je me suis inscrite à un atelier chez Cultura »

      « J’ai dit à la pharmacienne que je pensais changer de poste. »

      « Je suis rentrée à la maison après le boulot et je suis ressortie marcher 30 min ! »

       

      Mais quand il y en a plusieurs, ça fait une vraie activité.

       

      Si vous réalisez 10 ou 15 micro-actions en lien avec votre changement de carrière cette semaine, ce sera déjà 10 fois plus que la semaine dernière !

      Peut-être même si vous ne faites que deux.

      Comment réussir son changement de carrière à 50 ans avec des micro-actions ? Françoise Bourgouin - coach de votre carrière après 45 ans.

      Chaque opportunité mérite d’être explorée, aussi loufoque ou petite soit-elle !

       

      Quand vous pensez changement de carrière, vous voyez tout de suite en grand. Si des opportunités se présentent, vous les ignorez souvent car elles ne semblent pas assez significatives ou complètement fofolles. Elles ne semblent pas contribuer suffisamment à l’incroyable changement que vous visez.

       

      “Pourquoi aller à cette inauguration d’expo, ce n’est pas là bas que j’aurai la révélation sur THE idée de nouvelle carrière.”

      Il peut y avoir une rencontre lors de ce vernissage. Une conversation avec une personne inspirante qui donnera un éclairage intéressant pour un futur projet. Alors allez-y !

       

      Je ne peux pas démarrer une nouvelle activité en parallèle de celle que j’ai déjà, donc pas la peine de commencer à y réfléchir. 

      Pourtant commencer un blog ou tout autre side project, vous mettra en contact avec de nouvelles personnes, source d’échange et d’inspiration pour une future carrière.

       

      Si une idée se présente, explorez-là. Elle vous fera avancer. Et toute avancée, même minime, vaut mieux qu’aucune mesure.

      Chaque moment est utile pour votre changement de carrière

      Si vous envisagez votre changement de carrière comme une belle grosse action à mener, vous allez tomber dans la procrastination.

       

      « Quand j’aurai du temps, je pourrai me concentrer sur mon changement de carrière, là je suis trop crevée »

      « Quand j’aurai assez d’argent de côté, je pourrai quitter mon travail et tester autre chose. »

      « J’ai besoin de quelques heures pour écrire des emails à des relations potentielles. »

      « Je ne suis pas encore prête à suivre cette formation, mais peut-être que dans six mois, les choses iront mieux. »

       

      Ca vous parle ?

       

      Pour un « micro-actionneur », cinq minutes suffisent pour commencer quelque chose.

       

      Cinq minutes dans la  file d’attente à la poste pour écrire le premier brouillon d’un mail parce que l’inspiration est là (car une fois que vous avez un premier brouillon, la barrière mentale de cette page blanche a disparu).

       

      Dix minutes pour parler à un ami d’une idée, aussi vague et incertaine soit-elle, pour voir quels  retours il peut vous faire (parce que dans une semaine, quand il découvre quelque chose de pertinent, il peut vous l’envoyer et susciter quelque chose de nouveau).

       

      En entreprenant des actions minuscules et cohérentes, car chaque petit pas vous amènera plus loin sur le chemin.

      Comment réussir son changement de carrière à 50 ans avec des micro-actions ? Françoise Bourgouin - coach de votre carrière après 45 ans.

      Chaque personne est un atout

      Aborder le changement de carrière comme un mega challenge quasi impossible risque de vous placer dans une solitude profonde.

       

      « Est-ce que je ne suis pas folle de vouloir changer à 50 ans ?. »

      « Je n’en parle pas parce que je n’ai pas d’idée précise…. »

      “Je n’ose pas lui faire perdre son temps pour lui demander comment il a créé son entreprise alors que je ne suis pas sûre de vouloir le faire ?”

      Lorsque vous avez cette tâche énorme à accomplir  «changer de carrière» (ou «trouver ma passion», d’ailleurs), vous vous dites que vous devez avoir déjà lancer votre projet pour obtenir de l’aide.

       

      Encore une fois, vous prenez les changement de carrière dans sa globalité.

      Si on raisonne en micro-action, toutes les personnes à qui vous pouvez parler peuvent vous aider à avancer (nouvelles idées, coup de pouce inattendu…)

       

      N’ayez pas peur de dire que vous êtes sur le chemin du changement, que vous ne savez pas exactement où vous allez, mais que l’important c’est d’avancer.

      Quand j’ai voulu me former au coaching, j’ai hésité pendant ½ journée à demander des conseils sur le choix de la formation à une coach de mon groupe de blogueuses. J’ai relu 40 fois mon message et j’étais sûre qu’elle ne me répondrait pas. Finalement, le lendemain on faisait un skype et depuis nous collaborons ensemble !

       

      Tout échec est une avancée

       

      Souvent vous attendez d’avoir l’IDEE ou LA PASSION pour votre projet de changement de boulot. 

      Si vous avez l’idée et que ça se passe mal, vous vous découragez. Je suis nulle, j’aurais pas dû, j’ai perdu de l’argent, etc… Faut tout recommencer, pff…

      Si vous n’avez pas d’idée, je ne fais rien parce que je ne sais pas par où commencer….

       

      Par contre si vous agissez par micro-actions, celles-ci peuvent partir dans des tas de directions différentes. Comme elles sont micro elles engagent peu (de temps, de moyen, d’affect…)

      Si une micro-action échoue, ce sera juste un petit pas en arrière, pas une chute de 5 m de haut qui fait mal et qui paralyse. Si votre contact ne répond pa à votre mail. il suffit de prendre le suivant sur la liste et d’envoyer un autre message.

      En plus ces échecs amèneront de la clarté sur un chemin à ne pas poursuivre, une voie qui n’est pas pour vous.

       

      Au départ, il est clair que les micro-actions peuvent donner l’impression de ne pas trop avancer, de patauger et partir dans tous les sens. 

      Vous ne savez pas vraiment où vous allez.

      Vous essayez des choses sans savoir si elles vont fonctionner.

      Mais pour progresser, soyez patient et persévérant vous devez continuer, même sans savoir où elles vous mèneront. Dans le lot, il y aura des réussites et des informations qui vous feront avancer vers votre nouvelle professionnelle.

       

      Voici quelques idées de micro-actions avec lesquelles jouer cette semaine :

       

      • Trouver un cours sur un thème que vous aimez (dessin, photo, écriture…)
      • Rejoigner un groupe facebook de gens qui veulent changer de carrière
      • Demander à une amie si elle peut prendre un café avec vous et vous expliquer son job.
      • Réserver votre nom de domaine pour voter futur blog
      • Demander à une copine d’être votre binôme de micro-actions
      • Acheter les premiers matériaux pour le projet que vous vouliez démarrer
      • Lister les personnes qui ont un job qui vous inspire.
      • Rédiger une liste des raisons pour lesquelles le travail de cette personne vous passionne.
      • Transformer cette liste en premier brouillon d’un courrier électronique «J’aime votre travail» à cette personne.
      • Cliquer sur ‘Envoyer’ pour voir ce qui se passe.
      • Inviter une amie à prendre un café pour parler de votre changement de carrière.
      • Rejoindre une communauté Meetup
      • Trouvez le numéro de téléphone d’une entreprise qui vous interesse
      • Prendre un itinéraire différent ou un autre moyen de transport pour aller travailler
      • Mettre un cahier dans votre sac à main pour noter tout ce qui peut nourrir votre changement de carrière
      • Renouer avec d’anciennes relations de promo via LinkedIn
      • Parler à une personne de cette idée folle-dingo que vous avez …

      Etc….

       

       

       

      Françoise

      Françoise

      Coach de carrière

      J'accompagne les femmes de plus de 45 ans pour retrouver kif et fierté dans leur job.

      Françoise Bourgouin - coaching de carrière

      Vous avez envie de changement mais vous ne savez pas trop par où commencer ?

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      Comment réussir son changement de carrière à 50 ans avec des micro-actions ? Françoise Bourgouin - coach de votre carrière après 45 ans.
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