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#40 – carnet de coach – Du courage, du courage …

#40 – carnet de coach – Du courage, du courage …

Newsletter du 21 Mai 2020

Hello caracoleuse centaurée de l’ascension, 
(on est d’accord, ça ne veut strictement rien dire, mais j’aime bien !)

Du courage, du courage, du courage….
Tu te rappelles de cette chanson de la Grande Sophie ?

Et bien, j’ai ce truc dans la tête tous les jours.
Non pas que je cherche à me motiver plus que ça.
Non, ce sont les gens autour de moi. 

Depuis que j’ai annoncé officiellement que je démissionnais, les réactions sont variées et fleuries. 
J’avoue que je kiffe à mort ce moment qui n’arrivera plus jamais. Je prends des notes tous les jours, tellement c’est riche et drôle.
Ce moment où tu es là, mais plus vraiment, où tu t’en fous (enfin intérieurement sinon je suis une pro t’imagines bien ?) et tu observes.
Ce moment où tu n’es plus avant, mais pas encore après !

Beaucoup me disent : “tu as du courage de partir” ou “moi je n’aurai pas ce courage” (là c’est celui qui se justifie et qui ramène tout à lui, alors que tu ne lui a rien demandé. )

J’entends parler de courage toute la journée.

J’ai envie, car je suis d’excellente humeur, de te livrer un secret incroyable. Digne de celui des pyramides (d’un autre côté, vu qu’on ne le connaît pas…. peut être largement surfait le truc des pyramides au final).

Le secret incroyable, c’est que le courage n’a strictement rien à voir là dedans. 

Il ne s’agit de pas de sauter dans le vide accrochée à un élastique. 

C’est juste qu’à un moment tu réussis …
à t’écouter,
à te comprendre (pas toujours gagner car parfois tu ne parles plus trop ta propre langue)
à t’autoriser à vivre ce que tu as envie de faire (malgré tous les warnings qui clignotent dans ton mental).

Pas besoin de courage pour ça. juste d’une envie, envie de faire ses choix. 

Et ça ne sert à rien de se flageller en disant “ moi je n’aurai jamais ce courage”. Parce que bien sûr que si, tu l’auras. Tu auras toute l’énergie et toutes les ressources nécessaires quand tu auras l’envie, la bonne.

Je t’entends déjà ronchonner que toi tu ne sais pas de quoi t’as envie. (Sûre que ça t’a traversé l’esprit ?). 

Commence par des truc qui n’ont rien à voir. Des petites envies, des bébés envies, facile à satisfaire. (Et pas que de la bouffe ! )
Envie de te remettre au piano, cherche un cours pour la rentrée
Envie de faire de l’aquarelle, fonce chez Cultura et inscris toi à un atelier.
Envie de cultiver tes tomates…

Tu vas voir, plus tu nourris ces envies, plus de nouvelles arrivent, plus grandes, plus ambitieuses. 
A un moment, tu devras même faire le tri ! ?

Alors celui qui te diras qu’il t’a fallu un sacré courage, tu lui répondras :  “Et toi, de quoi t’as envie ?”

Prends soin de toi et aime toi.
B

Françoise Bourgouin - coaching de carrière

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#39 – carnet de coach – Tu ne vas pas le croire !

#39 – carnet de coach – Tu ne vas pas le croire !

Newsletter du 14 Mai 2020

Hello athlète attentive,
 
Pendant le confinement, j’ai repris le sport (toi aussi ? ?)
 
C’est une grande histoire entre lui et moi.
Une histoire qui a commencé par 40 ans de brouille, d’indifférence, de mépris même par moment. 
#filledeprof, c’est quand même mieux de lire comme un larve dans son lit, que d’aller cracher ses poumons sur un stade.
Ensuite une rencontre, une Isabelle qui a su me persuader de venir découvrir sa salle de sport.
Et on s’est apprivoisé, le sport et moi.

 
Plus que ça, j’ai adoré.
La nana “indisposée” 4 semaines par mois, qui faisait la gueule en cours de sport de 3ème1 avec Mme Fournier, est devenue une fana de ski, fitness et running.
 
J’ai regretté. Regretté ces préjugés bien ancrés, ces croyances familiales, qui m’ont privée de ce plaisir là.
  
Depuis 2 ans, je bosse sur mon projet de reconversion. Et clairement, j’ai mis mon énergie ailleurs. Ma relation avec mon corps s’est distendue, le sport est sorti tranquillement de ma vie quotidienne.

Je n’avais plus le temps !
Encore un truc bidon, car le temps se prend, c’est juste une question de priorité. 
Bref, ma relation avec mon corps n’était plus une priorité. je nourrissais mon cerveau et mon cœur comme une dingue, mais le corps, il est resté en rade.
 
Grosse erreur ! 
 
Car gérer son énergie et sa forme physique est juste indispensable (c’est Mme Fournier qui serait contente de lire ça !). 
Je ne te refais pas un cours sur tête, corps, coeur, pourtant les 3 moteurs doivent être alimentés si tu veux avancer. 
 
Donc, je reprends le sport  il y a 2 mois.
Avec des kilos en trop (quand je dis des kilos, je ne parle pas de 2 ou 3 !! ?)
 
Première séance, horrible : l’impression que mon coeur va exploser, que j’ai l’âge de Yoda.
J’en pleure de rage, de honte, de frustration.
Envie de tout envoyer balader (pourquoi se faire mal hein ? pourquoi ?)
Le lendemain, une mamie se déplace dans la maison : c’est moi ! 
#courbatures
 
Pourtant, j’ai continué. 
 
Why ?
Parce que j’avais du soutien : en parler, être encouragée et partager mes difficultés.
Parce que je savais que le résultat serait plus aligné avec la Françoise  qui va bien.
Parce que je me suis autorisée à adapter le programme en fonction du temps et de l’envie que j’avais chaque jour (et des courbatures).
Parce que je me suis récompensée quand j’ai atteint mes objectifs.
 
Je te parle de sport, mais c’est valable pour n’importe quel projet.
Le truc pour continuer quand t’as envie de lâcher,  c’est de savoir pourquoi tu le fais et  t’autoriser à adapter ton programme.
 

Si le pourquoi est pourri (pas en accord avec ta badass intérieure), c’est ok si tu lâches l’affaire.
 
Question “s’autoriser”, la “sois forte”, qui habite dans ma tête, a du mal avec ça. Elle ne s’autorisait pas trop, mais elle progresse.
 
Et toi, qu’est-ce qui te fait tenir ? 

Pivoines et roses du jardin sauvées de la pluie. 

B

Françoise Bourgouin - coaching de carrière

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#38 – carnet de coach – Les raviolis, c’est fini … (confinée ep. 8)

#38 – carnet de coach – Les raviolis, c’est fini … (confinée ep. 8)

Newsletter du 7 Mai 2020 

Hello raviole de  l’espoir,
 
ma journée vient de commencer avec un tupperware de raviolis, qui s’explose par terre devant le frigo (et s’ouvre bien sûr, sinon ce ne serait pas drôle). 
 
La chatte est venue voir et s’est détournée, un peu dégoûtée de la moustache. “Pas assez bon pour moi” disait son air dédaigneux de Miss Sheba 2016. Elle se la pète un peu cette minette.
 
Puis, j’ai réalisé que j’allais donner ça à manger à mes enfants. (Après presque 2 mois de confinement, ils sont en pasta box 1ère année avec option ravioli.)
 
Ce truc, dont le chat ne veut pas et qui va faire une tache rougeâtre  indélébile sur mon carrelage, si je ne me dépêche pas de l’enlever.
 
Prise de conscience.
 
Même si je sais que c’est pas top… l’habitude, la routine, la facilité, le fonctionnement en pilotage automatique font que je ne me remets pas en cause. Pas vraiment, en tout cas. 
 Je sais, tu sais… mais on repousse à la prochaine fois. on se dit: “Allez encore une fois, je ferai différemment la prochaine fois”.
 
Notre quotidien très chahuté est une belle occasion de changer de regard sur nos modes de fonctionnement (et sur les raviolis en boîte).
 
Depuis quelques semaines, j’ai le sentiment de voir tout différemment. Les gens, ma famille, mon jardin, mes amis, mes boulots, moi (y’a qu’la chatte qui ne change pas).
 
Est-ce que ça te fait ça aussi ?
 
C’est un peu inconfortable, quand ça remet en lumière des trucs qu’on avait bien enfoui sous 2 ou 3 tapis. 
 
Je vis cette coronacrise comme un énorme coup de pied au cul d’un monde qui n’en pouvait plus de nous, les humains. 
Alors à mon tout petit niveau de Françoise, j’ai envie de profiter de l’élan de ce coup de pied….
 
Je démissionne lundi (bon, j’avais pris un peu d’élan avant pour être honnête ?)

Tant pis si c’est égoïste, irresponsable, imprudent, pas le moment…
Dommage si ça ternit mon image auprès de certains…

Je sais que c’est ce qu’il me faut. 
Je veux être coach à temps plein et pas juste en complément.
 
Je me sens archi légère et déterminée. 
 
Et toi, ma fabuleuse lectrice, qu’est ce que tu as envie de voir changer ?

Qu’est ce que tu sais mais que tu ne fais pas ? ?  
 
Je te laisse avec cette question. Je file chercher mes masques Lacoste distribués par la mairie, histoire de crâner le jour du déconfinement. 

Z’auraient pu floquer un croco dessus quand même !! ?? 

B

Françoise Bourgouin - coaching de carrière

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#37 – carnet de coach – No limit … (confinée ep. 7)

#37 – carnet de coach – No limit … (confinée ep. 7)

Newsletter du 30 Avril 2020

Hello perfect miss Sunshine,

Le blurring tu connais ?
Ce n’est pas nouveau, mais je viens de découvrir ce terme dans un article. 

Je connaissais bien Blur et Damon Albarn, mais ça s’arrêtait là.

Un nouvel anglicisme tu vas me dire. 
Oui, certainement.

Je viens de découvrir ce terme parce que je suis à fond dedans. 
A fond dans le flou entre vie perso et vie pro
Je télécharge les devoirs de maths de mon fils pendant un CODIR téléphonique (je suis encore salariée pour quelques semaines).
Vive les conf. tel ! Tu peux faire tellement de choses en même temps.

Enfin, c’est ce que je me suis dit au début. Comme une gamine qui sait que Papa et Maman ne la voient pas.
J’ai fait ma vaisselle, j’ai maté des vidéos sur TikTok, j’ai joué à Animal Crossing, j’ai mis du vernis sur mes pieds (enfin juste les ongles !).

Bref, les premiers jours, c’était vraiment jouissif cette distanciation sociale pour les réunions chiantes. Quand c’est en présentiel, tu t’évades tant bien que mal en pensées, tu dessines sur ton cahier de notes. Mais là, on passe au niveau supérieur.

Et comme les enfants qui se lassent de leur jouet, c’est devenu fatigant de faire tout et rien en même temps. 

Si tu es en télétravailles, j’imagine que tu es confrontée à ce genre de chose. 

 
Si, par ailleurs, tu es une Miss Parfaite, la tentation est grande d’assurer sur tous les tableaux : boulot, enfants, cuisine, sport…

C’est comme ça que tu te retrouves avec ton boss au téléphone en train de d’éplucher tes légumes et de faire la dictée de ta fille, tout en contractant tes abdos sur l’expiration.

Résultat, à force de jongler avec le on/off du micro, tu finis par dire à ton boss, en articulant bien les liaisons : “Les zzz’enfants sont t’à la maison“.

Avec le confinement (qui ne semble pas vraiment prendre fin le 11 mai), se pose la question des limites. 

Si, au début, c’est rigolo et transgressif de tout mélanger, boulot, perso, ça devient vite épuisant et stérile.

La question des limites, de savoir dire non, de poser un cadre n’est pas nouvelle.

Dans ce contexte bouleversé, elle devient cruciale.

Les limites sont archi personnelles. Les miennes ne sont pas les tiennes. Le curseur de l’acceptable est dépendant de ton parcours, ton éducation, tes valeurs, ton endurance,…  enfin de toi.

Le blurring peut t’amener au bord de l’implosion. A ce moment là, fixer ses limites se fait dans l’agression de l’autre  ou de soi même. Et tu te retrouves à hurler sur tes mômes, ton conjoint et/ou tes collègues sur whatsapp.

Alors avant que fuck ne devienne ton émoji préféré, quelle limite as-tu envie de fixer aujourd’hui  ?

Comment vas-tu la poser ?

Avec quoi tu n’as plus envie de transiger ?

Je te laisse avec cette réflexion et m’empresse d’aller faire un cours sur la géo des États Unis. L’école à la maison a repris !  youhou !!!
Ma limite : une seule matière par jour !

Première tarte à la rhubarbe de l’année. Ça c’est non négociable !!

B

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#36 – Carnet de coach – Même pas peur ! (confinée ep. 6)

#36 – Carnet de coach – Même pas peur ! (confinée ep. 6)

Newsletter du 23 Avril 2020

Hello époustouflante pousse de ouf,

Nous avons toutes une bonne copine, qui nous appelle régulièrement pour prendre des nouvelles.
Parce que ça se fait et que ça occupe. J’imagine qu’elle a un planning, tous les jours, de gens à appeler et les éléments de langage pompés sur BFM le matin au p’tit dej’ .
Cela donne un échange avec beaucoup de précautions oratoires, des “ça va en cette période si perturbée” et pas mal de “je suis très inquiète de l’avenir du monde”.

Je suis certainement très triviale, mais je ne vois pas l’intérêt de parler différemment, limite moins fort, parce qu’on est confiné. 
Enfin si t’habites en appart’, c’est pas mal de ne pas hurler à 2h du mat’ parce que tu viens de battre un big boss sur ta PS4. Mais sinon….

Comme si ce discours convenu pouvait tenir à distance la peur, la crise, la maladie, enfin tous les trucs un peu beurk qui nous cernent en ce moment.
Mais après tout, chacun gère la situation comme il peut. J’ai bien planté 3 arbres dans le jardin, pour me vider la tête et avoir l’impression de faire un truc utile. Chacun sa came…

C’est la même bonne copine qui te dit que “forcément ton projet de changement de vie professionnelle est reporté… forcément”.

Bah oui…. forcément

Et toi, forcément, au bout d’un moment, enfin au bout du 3ème coup de téléphone (dans ce contexte le mot « coup » est vraiment approprié), tu doutes.

Ce doute m’a accompagné une nuit il y a quelques jours (le doute est un animal plutôt nocturne. Comme le chat, il te réveille à 2h du mat’ parce qu’il veut sortir !)

J’ai envie de te partager ma réflexion, parce que, peut être, toi aussi tu as cet animal de compagnie qui vient te réveiller la nuit. 

Ton envie de changement part de toi. Il y a un truc qui bouillonne dans ton ventre. Ce n’est pas encore très clair parfois, mais c’est sûr que tu veux que ça change. 

Si tu es au clair sur tes valeurs, sur ce qui est important, non négociable pour toi, alors qu’est-ce que la crise va changer dans ton projet de transition professionnelle ?
Aujourd’hui tu ne le sais pas et personne ne le sait.

Elle va peut être ajouter un peu de délai dans la réalisation de ton plan.
Elle va amener d’autres paramètres, auxquels tu sauras t’adapter. 
D’autres questions, auxquelles tu sauras répondre.
Nécessiter d’autres compétences, que tu sauras acquérir.

Tu vas devoir retravailler certains points, mais ça tu sais faire !

Ton envie est toujours là, et c’est elle ton moteur.
Alors si ton moteur est ok, peu importe le chemin, tu trouveras bien l’itinéraire bis, s’il le faut.

Toutes ces métaphores pour te dire que c’est le moment de t’accrocher à la badass qui est en toi. 

Si tu as bossé sur un projet, aucune raison de laisser tomber. 

Il faut surement adapter et retravailler certains points. Mais n’écoute pas les bonnes copines qui te disent que “forcément….”

N’écoute que ton moteur.
S’il cale, laisse lui le temps, mais s’il est chaud, alors GO !

En attendant, prends soin de toi et aime toi.
 
B

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#35 – Carnet de coach – On va s’aimer (confinée ep.5)

#35 – Carnet de coach – On va s’aimer (confinée ep.5)

Newsletter du 16 Avril 2020

Hello pâquerette post Pâques, 
 
j’ai une tendresse particulière pour les pâquerettes car c’est mon 3ème prénom. Celui d’une de mes grand mères. En ce moment, elles s’éclatent  (les pâquerettes, les grand mères beaucoup moins ?) sur les pelouses publiques, qui sont moins tondues que d’habitude.
 
Comme la semaine dernière, je suis toujours sur ma terrasse et je regarde les bestioles qui vivent leur vie. En se foutant royalement du confinement.
Y a pire. Je ne me plains pas.
 
Pendant ce temps-là, mon fils joue à Animal Crossing, comme quelques millions d’enfants, petits et grands, dans le monde.
 

Si tu as échappé au phénomène (ça ne me semble pas possible , mais bon… rester enfermer 2 mois ne me semblait pas possible non plus, alors) je te résume rapidement.
C’est un monde virtuel, où le temps défile à la vitesse réelle. Tu arrives sur une île accueillie par Denis Brognard des animaux anthropomorphes. Ils te conseillent et t’apprennent à pêcher, faire du feu, construire ta maison, etc…. 

C’est un monde gentil, où tu ne peux pas mourir, où tout est à construire.
 
Et bien voilà le personnage que s’est créé mon fils.

Je lui demande à quoi sert le masque dans un monde virtuel, totalement safe ?
“On ne sait jamais, il peut y avoir un virus”

Et là, je me prends une claque. 
Je trouvais que mes enfants vivaient ça bien. Même si c’est parfois galère pour les devoirs, ils sont sympas et autonomes. Il leur arrive même de me faire un gâteau au yaourt de temps en temps.

Sauf que vivre ça à leur âge, au moment où tu te construis. Au moment, où, déjà naturellement, tes émotions débordent.

Je ne peux pas les déconfiner. 
Par contre je peux les aider à en parler, à exprimer les besoins derrière les émotions (chaud patate avec des ados en mode “mute”, mais ça se tente !)

Et pour moi, je fais quoi ?

J’ai lu pas mal de posts et d’articles incitant à la bienveillance envers soi-même ces derniers jours.
Et ça, ça me parle.
Plus que ça, j’en ai besoin.

Après l’excitation, la gestion du chaos, la cape de sauveuse sur les épaules, la working mum qui surveille le contrôle sur la révolution française et, en même temps, anime un zoom pour essayer de motiver des collaborateurs encore en pyj’ (perso, découvrir la déco de mes collègues, dans les visios, ça m’a fait comprendre beaucoup de choses sur leur comportement au bureau.? On devrait demander une photo du salon sur les CV !) 

Une fois que tout ça devient quasi une routine, qu’est-ce que je fais pour moi ?
J’ai envie d’être vraiment sympa avec moi.
Au début, j’ai eu du mal à trouver car mon cerveau était un peu en surchauffe. 
Ensuite j’ai lâché l’affaire (je t’en parlais ici même la semaine dernière).

Et finalement, les idées sont venues.
Et comme d’habitude, tête corps cœur !

 ? Un atelier d’écriture pour ma tête
?  Pour mon corps, une séance de sport tous les jours (20 minutes mini)
 ? Pour mon cœur, un moment seule, dans le jardin, avec un café, à regarder fleurir mes pivoines, tous les matins.

Et toi ? ?

Tu fais quoi pour être sympa avec toi en ce moment ?
Pour bichonner (j’adore ce mot !) ta tête, ton cœur et ton corps.

En attendant, prends soin de toi et aime toi.

 
B

Françoise Bourgouin - coaching de carrière

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